descriptionMoranne Taheldran
- Nom
- Taheldran
- Prénom
- Moranne
- Genre
- Homme
- Âge
- Date de Naissance
- Automne de l'année 140
- Lieu de Naissance
- Feriane
- Peuple
- Alavirien
- Métier
- Tailleur de pierre
Ses yeux couleur noisette dégagent un mélange paradoxal de fermeté et de douceur.
Son cou est épais et sa pomme d'Adam proéminente.
Sa voix grave, posée et son regard franc lui confèrent une autorité naturelle un sentiment de confiance dès le premier égard.
Son regard est brun noisette, ses traits épais prennent vie lorsqu'il conte. Il a une morphologie épaisse, elle aussi, sans avoir d'embonpoint.
Il a pour habitude, dès qu'il est au repos de prendre des postures d'étirement. Il a conservé une souplesse étonnante, une grâce certaine, et des capacités d'esquives excellentes.
Ses cheveux bruns ondulés qu'il porte longs jusqu'aux épaules s'échappent souvent de ses chignons attachés avec n'importe quelle brindille ou bout de branche. Il a le teint clair en hiver, le plus souvent rougis par le soleil, le visage buriné par le grand air lui font paraître quelques années de plus.
Ses mains sont larges et calleuses et sa poigne plus que ferme.
Il porte une tunique ample, vert sombre et brodée au lisières de fil argenté. Il ajoute à chaque événement
marquant sa vie d'une broderie symbolique supplémentaire autour de la couture du bas de sa tunique.
Un oiseau qu'il avait adopté étant enfant, un cœur dans une main main pour sa relation avec Tolrem, une goutte pour les premières règles d'Emerya, une masse pour son premier salaire de tailleur de pierre, une botte pour son départ de Feriane, une flamme pour sa rencontre avec Helmeg, une feuille de rhubarbe pour pour son arrivée à la ferme des roseaux.
Il est équipé, pour travailler et épargner ses articulations, d'une ceinture de Force réglable de cuir et de bracelet sur même principe, autour de ses poignets.
Les éclats de pierre ont moucheté ses chevilles de petites cicatrices, comme des grains de beauté plus
clairs.
Il parle juste et prend le temps de bien choisir ses mots, quitte à laisser attendre un peu ses réponses. Il
peut parfois prendre soin de glisser des jeux de mots, des sous-entendus et des doubles sens, signe de sa bonne humeur.
Son humeur est stable la plupart du temps, mais il est particulièrement sensible aux séparations, qui peuvent l'affecter intensément et aux nouvelles rencontres, qui le rendent rayonnant.
Il ne sait pas se battre et les excès de violence le traumatisent, lui imposent des nuit agitées et peuplées de cauchemars. Faire peur avec une volée de flammes suffis à effrayer les voyous les moins aguerris, mais s'il le faut, il utilisera sa masse, de manière imprécise mais efficace.
Il passe le plus clair de son temps libre à bavarder avec les enfants de la ferme, ils l'ont accepté comme
un grand frère de jeux pour leurs aventures imaginaires, leurs quêtes chevaleresques à la rescousse de
l'empire ou leur voyages fantasmagoriques dans d'autres mondes. Jouer aux chevaliers réveille en lui
ses rêves d'enfant en quête de voyage, de découvertes de nouvelles contrées et coutume... Il a une
affection profonde et respectueuse envers eux, leur permet de grandir en les traitant comme de grandes
personnes, tout en leur donnant des limites sur lesquels il se montre intransigeant. Il les instruit dans
leurs aventures sur la faune et la flore qui les entoure. En bref, il est bon pédagogue.
Il n'aime pas particulièrement l'odeur de poisson des rues d'Al-Chen, ni ses Tavernes et encore moins ses Bordels.
Il aime randonner autour du lac et admirer cette mer douce, au bout de quelques kilomètres, il a attaché
une barque dont lui seul connaît l'emplacement. C'est dans sa barque qu'il aime être lorsqu'il a besoin de
réfléchir. Il se sent parfois seul dans sa vie intime, mais il aurait bien trop peur d'avouer qu'il aime les
hommes.
Moranne était pourtant plutôt solitaire et contemplatif, il a passé sont enfance à courir la campagne, connaît chaque pierre, chaque plante, chaque oiseau.
Il apprend avec son père le métier de tailleur de pierre.
Il avait 24 ans quand il s'est fait surprendre au fond de la grange avec un jeune homme,Tolrem Quaihor.
Il se fait chasser du foyer et prend la route pour s’éloigner de Feriane, il décide de se rendre à Al-Chen. Il tentera d'oublier la douleur de la perte de son amant, resté à Feriane sous se sceau du secret.
Il partage un bout de route avec un homme inquiétant, Helmeg Trahevor, saboteur à gage et pyromane
en fuite. Les deux hommes se lient d'amitié, par sympathie, Helmeg l'initie à la pyrotechnie, à cracher le
feu. Moranne découvre qu'il a un petit pouvoir, mais assez rapide pour moduler la forme du feu. Il
échoue pour son plus grand désarroi à créer des flammes.
La nuit avant d’arriver à Al-Chen, son « ami » s’est enfuis avec la bourse de Moranne, qui arrive en ville
sans le sou. Il ne retrouve dans ses poches qu'une boite d'allumettes et une fiole d'alcool pur d'Helmeg....
Il broyait du noir dans les rues du quartier pauvre, inventant des scénettes pour s'évader en contemplant
sa flamme, qu'il fit danser pour se distraire. Un attroupement se créa rapidement. Cet attrait qu'il suscita
enflamma aussi son imagination. C'est l'une des premières fois qu'il inventait un conte, un peu bancal
mais captivant, il donna vie à une goule de feu qui se lie d'amitié à un siffleur. Les applaudissements et
les quelques rameaux jetés sur les pavés lui redonnent foi en sa destinée.
Le jour, il s'entraîne aux abords du lac, élabore ses mimiques et ses intonations, il sculpte ses créatures
de flammes, et le soir, quand la nuit tombe et que la place du marché est désengorgée, c'est une scène
qui se dégage pour Moranne. Il crache du feu, invente des histoires de flammes, d’ombres et de
lumières. Un metteur en piste le remarque. Leurs chemins se recroiseront peut-être plus tard, quand il
s'y attendra le moins... Il se fait un pécule, mais il supporte assez mal de vivre à la rue.
Il erre dans Al-Chen et ses alentours jusqu’à tomber sur la ferme des Roseaux, ou il y propose chaque
semaine un conte enflammé pour les enfants du hameau, il y retrouve une sorte de famille. Il a toujours
aimé ça, la tarte à la rhubarbe...
Il y propose ses services en tant que tailleur de pierre depuis deux ans.
Il reçoit de temps en temps des nouvelles de ses sœurs, souvent des Faire-Par ou invitations de mariage, mais Moranne a décliné les invitations et n’a encore jamais vu ses neveux, il lui serait trop douloureux de revoir Tolrem pour l'instant.
Dans la ferme des Roseaux, voici les enfants du village : Ferven et Aschuana Pleynors, 5 et 7 ans Lindorn, Kolger et Framasia Pirken, 2, 6 et 11ans et Tomer Sgön, 2 ans.
Il a noué une amitié sincère avec Frovena Pleynors, mère de Ferven et Aschuana.
Il s'instruit du bon usages des plantes médicinale auprès de Daziola Pleynors, la mère de Frovena et
grand-mère des enfants.
- Pseudo
- Iora
- Age Réel
- 22 ans
- Parle-nous de toi
- suis prof de cirque pour les enfants à Besançon, et ce que je préfère, c'est la corde lisse et les massues. Les plus belles choses que j'aime partager dans la vie, c'est dessiner, lire à voix haute, discuter autour d'un thé, faire des massages et papouilles, randonner, apprendre à reconnaître les plantes.
Je n'avais lu que les premier chapitres de la saga lorsque je me suis inscrite au forum mais j'avais déjà l'intuition que j'allais adorer l'univers. En tant que pré-adolescente j'étais un fervente dévoratrice de littérature fantastiques, Eragon, Percy Jackson, et tant d'autres sagas m'accompagnaient au quotidien. C'est donc avec plaisir et nostalgie que je me replonge dans un univers magique.
- Es-tu familier avec l'univers de Pierre Bottero ?
- En train, je les lis.
- Comment as-tu connu le forum ?
- Naëth Telmare m'avait été présenté par sa créatrice, il y a fort longtemps... Mais ce n'est que dernièrement, avec le confinement, que j'ai eu la curiosité de venir voir et que l'envie de faire du rôle-play a pris matière.
- Un commentaire sur le forum ?
- J'ai mis du temps à me repérer dans la foule d'articles du site, bien qu'il soit rangés de manière tout à fait cohérente.
- As-tu besoin d'un parrain ou d'une marraine ?
- Non, je me débrouille.