descriptionRe: QUÊTE DE L'EMPIRE | L'Effort de guerre
Ne pas étrangler sur le champ Jolgeïr ou Vaäntas est un défi pour Than. Droit, stoïque, mâchoire contractée pour contenir sa colère, il écoute sans broncher. L'équité entre noble et roturier, il la défend la plupart du temps. Mais être pris pour un vulgaire suspect dans cette histoire après avoir passé tant de temps et d'effort à se faire une couverture de renom, le protégeant de tout... Il a du mal à le digérer. Il n'éprouve aucune culpabilité pour les deux morts. Ils ne valaient pas grand chose à côté de l'importance de son secret. Mais il ne dit rien, ne proteste pas. Il se sortira sans soucis du tribunal. Ce n'est pas la première fois qu'une petite bavure survient et ce ne sera sans doute pas la dernière. Il réglera cela en temps voulu. La menace des raïs est effectivement prioritaire. Il faut être en vie pour se disculper.
Ce qu'il n'avait pas compris, par contre, c'était le "sous bonne garde". Qu'on le surveille, ok. Mais qu'on l'enferme dans une caravane, l'empêchant de prêter main forte... C'est stupide. Rhéa est la première à réagir, se levant pour parler à la thüle en charge de leur surveillance. Mais la gardienne prouve les dires quant à son espèce. Intransigeante. La jeune herboriste revient donc, frustrée et menacée de la hache de la geôlière. Debout, elle ne cache pas son inquiétude. Qu'a-t-elle donc vu dehors ? Than se lève à son tour et peut sans mal chuchoter tout en se faisant entendre d'elle tant l'espace est exigu.
-Que se passe-t-il ?
Elle ne répond pas de suite et l'émissaire pense qu'elle lui en veut de cette situation.
-Ecoute, j'suis désolé que tu sois coincée par ma faute. Je n'ai fait que me défendre et protéger le reste du groupe. Mais peu importe. C'est dangereux et folie que de nous laisser ici. Il est hors de question que je patiente sagement pendant que notre groupe risque sa peau dehors.
Il perçoit alors le silence lourd qui est tombé. Trop lourd, trop long. Il grogne.
-Pourquoi jamais rien ne se passe comme prévu, ici ?
Il s'avance, pas persuadé de faire mieux que Rhéa, mais avec l'espoir de faire abdiquer la thüle par l'usure. Il ouvre la tente et prépare son plus beau discours d'émissaire. Mais n'en dit pas un mot. La thüle a disparu.
Ce qu'il n'avait pas compris, par contre, c'était le "sous bonne garde". Qu'on le surveille, ok. Mais qu'on l'enferme dans une caravane, l'empêchant de prêter main forte... C'est stupide. Rhéa est la première à réagir, se levant pour parler à la thüle en charge de leur surveillance. Mais la gardienne prouve les dires quant à son espèce. Intransigeante. La jeune herboriste revient donc, frustrée et menacée de la hache de la geôlière. Debout, elle ne cache pas son inquiétude. Qu'a-t-elle donc vu dehors ? Than se lève à son tour et peut sans mal chuchoter tout en se faisant entendre d'elle tant l'espace est exigu.
-Que se passe-t-il ?
Elle ne répond pas de suite et l'émissaire pense qu'elle lui en veut de cette situation.
-Ecoute, j'suis désolé que tu sois coincée par ma faute. Je n'ai fait que me défendre et protéger le reste du groupe. Mais peu importe. C'est dangereux et folie que de nous laisser ici. Il est hors de question que je patiente sagement pendant que notre groupe risque sa peau dehors.
Il perçoit alors le silence lourd qui est tombé. Trop lourd, trop long. Il grogne.
-Pourquoi jamais rien ne se passe comme prévu, ici ?
Il s'avance, pas persuadé de faire mieux que Rhéa, mais avec l'espoir de faire abdiquer la thüle par l'usure. Il ouvre la tente et prépare son plus beau discours d'émissaire. Mais n'en dit pas un mot. La thüle a disparu.
[Mille excuse, c'est très court (mais j'ai fais plus de 300 mots ), mais à défaut de temps, je ne voulais pas vous bloquer et faire avancer le truc, donc... Je me rattraperai sur le prochain ]