descriptionKristain Til'Väänt
- Nom
- Til'Väänt
- Prénom
- Kristain
- Genre
- Homme
- Âge
- Date de Naissance
- Automne de l'année 138
- Lieu de Naissance
- Al-Chen
- Peuple
- Alavirien
- Métier
- Dresseur(se) / Eleveur(se) de chevaux
Le côté pratique prime sur la beauté et bien que Kristain ne soit pas déplaisant à regarder, il ne se soucie guère que ses pantalons soient crottés ou que sa chevelure blonde soit bien coiffée.
La dureté de la vie a laissé quelques marques sur son corps, notamment un nez cassé à la suite d’un accident d'adolescence. Une regrettable histoire de cheval un peu trop fougueux qui pourtant n’a jamais dégoutté le jeune homme de son métier d’éleveurs, bien au contraire.
Mais à l’inverse de cette mésaventure, sa vie d’éleveur lui a offert une puissance impressionnante et l'on peut le voir régulièrement porter de lourdes bottes de pailles sur son dos ou d'autres charges tout aussi pesantes.
Sa carrure d'ours, sa sempiternelle barbe de plusieurs jours ainsi que son style vestimentaire de campagnard rustique et peu regardant sur son apparence contraste beaucoup avec son doux regard couleur chocolat et le sourire chaleureux qui ne disparait jamais de son visage. De plus, l’homme est bon chanteur et sa voix grave offre des chansons joyeuses, douces et même apaisantes. Tendez donc bien l’oreille, cet homme est connait bon nombre de chansons.
Enfin, bien qu'au premier abord, Kristain soit imposant par sa stature, ses traits sont toujours illuminés par une joie de vivre et un sourire chaleureux qui le rende bien vite moins effrayant et plus humain et même ... presque attrayant à l’œil. Mais en bon paysan, il a que faire des belles tenues et des manières distinguées, préférant s'occuper de ces chevaux et de sa ferme. Désolé mesdemoiselles votre robe ne sera jamais aussi plaisante que celle de ces chevaux !
La joie ne semble jamais fuir ces traits ni son regard pétillant . Une chope de bière, des camarades et ces chevaux et le voilà le plus heureux des hommes. Vous ai-je dit qu'il aime ces chevaux plus que tout ? Car l'éleveur s'occupe chaque jour des ces trésors d'équidés avec la plus grande des passions , pouvant travailler sans regarder l'heure. Fier de son élevage de grande qualité et de son nom, Kristain peut toutefois faire preuve d'intolérance si quelqu'un s'ose à critiquer son métier ou sa famille. Il n'y a pas plus fier comme homme et l'homme n'hésite pas à mettre les poings sur les i pour calmer moqueries ou critiques un peu trop appuyé sur son nom.
Pourtant, il essuie bon nombre de jugement de la noblesse quand il apparait dans les lieux mondains sans grâce ni maintien. Le "rustre et simplet" Kristain fait honte à la cour mais pour ce dernier, il n'en a que faire de ces remarques et ces regards mauvais. Bien loin de cet image de "simple éleveur" Kristain peut se vanter de son intelligence et de son expertise équine que bons nombres d'éleveurs ne détiennent pas. Mais l'homme n'est pas vantard et préfère rire de tous ces nobles hautains qui pourtant viennent des quatre coins d'Al-Jeit pour acheter ces chevaux.
Si la finesse et le tact lui manque pour faire face aux nobles c'est particulièrement face à la gente féminine que le colosse blond se voit le plus démuni. En effet, l'homme ne connait rien à la séduction, aux beaux mots ou à la manière de faire la cours à une Dame.
Kristain est bien trop franc et direct pour s'amuser de sous-entendus ou de non-dit et dira toujours ce qu'il pense de manière vive et simple.
Enfin , cet éleveur malgré son franc parler , reste un être doux, abhorrant la violence , particulièrement sur les animaux et, si la situation l'exige, usera de sa carrure puissante et de son incroyable force pour se défendre ou défendre les plus démunis. Les injustices ne resteront pas impunies et Kristain montrera que même sous ces airs d'ours chantant et joyeux, il peut aussi montrer les crocs et devenir un farouche grizzly.
Fils unique, le jeune blondinet n'eut pas le bonheur de grandir avec une mère aimante car cette dernière mourut lorsqu'il eut 5 ans et qu'une petite sœur devait rejoindre le foyer pour ne malheureusement pas survivre, laissant un petit garçon aux joues nimbées de larmes, seul, avec son papa dont il devint proche.
Le petit garçon, malgré ces faits tragiques, parvint à avoir une enfance heureuse. Profitant de la grande propriété parentale en bordure du lac Chen, il se familiarisa bien vite avec ces grands animaux à sabots. Son père lui transmit l'amour de l'élevage et le jeune Kristain se vit rapidement jeté dans le grand bain. Ses débuts dans l'élevage furent plutôt chaotiques, lui octroyant plusieurs cicatrices.
Mais au fil du temps, le jeune homme gagna en confiance et en expertise, élevant ainsi ces premiers chevaux. Quelques années plus tard, il devint l'émissaire de son père. Destiné à reprendre les rênes de l'affaire familiale, son père vieillissant, lui laissait de plus en plus de responsabilité. Kristain commença donc les voyages dans le but de se faire connaitre comme successeur de son père mais aussi apprendre les ficelles du métier. Car il ne s'agissait pas que d'élevage mais aussi de vente et de réputation. Kristain se devait de contribuer à la renommée de son nom même si pour cela, il devait se frotter aux déplaisants nobles et à leur regard hautain. Bien que ces moments-là soient particulièrement désagréables pour le pauvre éleveur, ses chevaux et la qualité de leur élevage était connu et reconnu par la noblesse, l'obligeant donc à se contraindre à la mascarade mondaine. Bien que la famille Til'Väänt face partie de la petite bourgeoisie d'Al-Chen, beaucoup de "haut nobles" ne voyaient qu'en ces éleveurs de chevaux, que de simples paysans. Et Kristain , bien peu attentif à son apparence rustique et ces bottes crottés ne fait qu'attiser les langues de vipères et regards accusateurs sur lui et son nom, risquant de ternir son image et sa réputation.
Mais bien sûr pour ce pauvre Kristain, à tout cela s'ajoutait une autre chose. Bien que le jeune homme élève ces chevaux seul depuis des années, maîtrisant l'art équine, c'est le nom de son père qui reste sur le bout des lèvres. Cette injustice laisse un goût de frustration à l'homme qui devient plus solitaire et rechigne à se rendre dans les marchés pour ne se faire voir que comme un simple émissaire et non comme l'éleveur. Mais bien obligé de remplacer son père, fatigué de la vente et des voyages, le jeune homme supporte tout cela, cachant sa frustration et son malaise, espérant un jour que son nom dépasse celui de son cher père.
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- Lya'rien à voir
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- Une elfe nyctalope myope qui aime le café mais pas la mousse de café et qui chante des arpèges "sol - di - mi" très très vite mais qui prononce toujours "toggoban".
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