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Maëla Kovah

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Maëla Kovah
Thül | Clan thül Othala | Escorte de caravane

Généralités

Nom | Kovah
Prénom | Maëla
Sexe | Femme
Âge | 28 ans
Lieu de Naissance | Clan d'Othala, Plaine de Shaal, Nord Ouest de Gwendalavir
Peuple | Clan thül Othala
Métier | Escorte de caravane

Description Physique

Aussi splendide que les feux du nord, aussi tristement lointain et froid... | Maëla Kovah

Drapée de nuit, la peau blanche comme neige, son lourd manteau se mouve autour d'elle comme un nuage gonflé par la tempête. Devant le pas de Celle qui ne recule devant rien, les hommes du Sud, interdits, s'écartent... Une reine de Shaal, s'avance. Ils ont eu ouïe, non parmi les ragots, mais parmi les murmures nocturnes, de cette beauté boréale. Les plus téméraires, enhardit de leur curiosité, font mine de la toiser... Aussitôt cueillis par de vertes prunelles ardentes, leur orgueil de soldat part en fumée, soufflé violemment part un blizzard glacé. Gratifiés de ce regard acéré d'oiseau de proie, ils sont figés, même étonnés, comme une biche serait soudainement saisie par la beauté féroce et implacable d'un tigre des prairies avant que ce dernier ne lui arrache son dernier souffle.
Le temps d'une brise glacée, Maëla, franchit le campement, seule.
Les soldats frissonnent. Il semble faire un peu plus froid à présent.


Maëla a finit par s'habituer à ces agaçants regards quand à sa stature typiquement thüle.
Avoisinant les deux mètres, sa tête dépasserait d'une foule d'Alavirien, comme un étrange et solitaire nuage au-dessus d'une mer plate. Un choc de considération de la part des voyageur du sud qui la marqua lors de son premier voyage. Le pas décidé, sans détour, l'assurance et la volonté qu'elle dégage décourage le premier venu de lui adresser la parole...

Maëla porte le Nord sur elle et l'amène partout dans son sillage. Il ne s'agit pas de sa silhouette caractéristique, non. On jurerait que les plaines de Shaal en personne eurent pour volonté de marquer les traits de cette enfant. Ainsi, son physique est imprégné de cet aura féroce et sauvage, qu'il s'agisse de son regard dur de rapace, sa mâchoire carrée témoignant de son caractère implacable, son rictus qui fait plisser ses narines comme un tigre des prairies ou son teint blême comme neige. Pourtant, elle est loin d'en en partager la pureté. Sous ses épaisses fourrures que seule l'intimité font tomber, son corps est marqué par les cicatrices du métier d'escorte, et d'une vie rude de manière générale. Maëla les regarde comme des erreurs de jeunesse, des leçons d'humilité et de combat qu'elle doit accepter.  

Malgré cet aura de froideur, son apparence n'est toutefois pas exempte de douceur. Ses épais cheveux d'ébène tombe en douces vaguelettes dans son dos... Bien qu'elle s'applique pragmatiquement à les couper suffisamment courts pour qu'ils ne deviennent pas une gêne. Son teint froid fait ressortir ses lèvres d'une jolie couleur rappelant les fruits du houx. Très fines, comme amincies par le manque d'usage, elles lui confèrent  un sourire mutin, quoique rare.
Car là se trouve la mal-aisance qu'elle inspire aux extravertis et tout êtres à la recherche de chaleur humaine. Son visage exprimant si peu d’émotion, que beaucoup ont abrégé leur questionnement et prétendus qu'elle ne ressentait rien tout simplement, lui forgeant une solide réputation de forteresse de glace. Mais la vérité, est plus intime et intérieure...

Caractère

« J'ai trouvé le verbe de ma vie, sans lui je ne suis rien. De lui je m'habille d'un but qui me donne mon souffle » | Maëla Kovah
Pour peu qu'elle fut née chez les frontaliers, on l'aurait sûrement comparé à la citadelle elle-même : froide, implacable, imprenable.
Elle a peu à peu forgé son esprit comme une arme, à force de volonté et de persévérance, éliminant les parties faibles et émoussées, aiguisant son intellect, exigeant d'elle-même toujours plus, au service de ses convictions et son profond sens du devoir. Maëla n'a jamais désiré beaucoup pour elle-même. Peut-être devenue sérieuse trop tôt, façonnée par l'âpre vie des nomades du nord et aspirée par sa dévotion envers sa famille et son clan. Lui retirer ceci, reviendrait à éliminer le sens de sa vie.
Si elle peut paraître trop dure, elle ne demandera jamais aux autres ce qu'elle n'exige au double d'elle-même. Elle sait que son masque impassible en met mal à l'aise beaucoup, que l'on juge son sang-froid et son contrôle excessif, que son manque loquacité dérange. Mais elle ne s'éparpillera pas dans des futilités, en parole ou en action, pour le plaisir d'autrui.

Mais malgré ces airs de forteresse, elle est très proche de ses sœurs et fière d'être une thüle du clan Othala. Peu versée dans les mondanités, la guerrière se complaît dans les relations de simples et saines de camaraderie, conservant malgré elle une certaine distance avec autrui. Toujours sur la réserve, elle ne fait pas aisément confiance, tout en considérant qu'avoir un nombre réduit de connaissance mais de qualité augmente les chances de survie de quinconce. Maëla n'est pas de ces Thüls qui négocie leur contrat à rire fracassant et tape dans l'épaule. Mais même rare, son amitié ne fait pas exempt à sa dévotion, demeurant fidèle et entière.
Particulièrement protectrice envers ses sœurs, elle a toujours pleinement endossé son rôle d’aîné, parfois trop, et se considère comme responsable du bien-être de sa famille. Toutefois, Maëla n'a jamais eut l'impression de vouloir chaperonner qui que se soit, ne désirant que leur bien et leur sécurité. La jeune femme est incapable d'agir autrement qu'en cherchant constamment à encaisser à la place des autres. À sa manière, pendre en charge les autres est quelque part sa manière d'exprimer maladroitement son affection.

Le « sud », c'est toujours prononcé toujours avec un ton circonspect, et une note légère de mépris contrôlé qu'elle désigne le reste du monde qui n'est pas Thül. Trop habitué aux grands espaces sauvages, elle se sent particulièrement mal à l'aise dans un environnement urbain, où tout autre lieu lui masquant l'horizon. Peu sensible aux rouages de la société alavirienne, elle voue un mépris particulier pour les nobles : quiconque préfère déléguer ses tâches à d'autres pour s'engraisser, ne mérite pas de respect, ayant lui-même abandonné sa dignité et son honneur. Néanmoins, ces gens paient dans les caravanes, et l'argent sert à la famille.
Mais Maëla n'est pas imperméable à la nouveauté, plutôt curieuse et ouverte. Privée des épices et des goûts sucrés par le rude climat du nord, la découverte des gastronomies si diverses et variées des pays du sud, de leur pâtisserie sucrée fut une révolution. S’il y avait quelque chose que la Thüle pouvait concéder aux Alavirens, c’était la pâtisserie. Mais Maëlla ne le reconnaîtrait pas à voix haute, orgueil de Thül oblige. Et n'ayant connu que les massifs guerriers thüls, la jeune femme n'est pas insensible aux artistes alaviriens, faisant preuve à son goût d'une forme de finesse psychologique et de perfectionnement tout à fait fascinante...
Peut-être qu'un jour elle descendra admirer l'immensité du lac Chen, assistera au festival de l'hiver d'Al-Chen, goutera à la fameuse et rare liqueur des Faëls... C'est ce qu'elle songe parfois, juché sur son cheval, lorsque l'horizon est clair et sans menace. Puis se rappelant sa raison d'être, elle chasse ses idées de sa tête et reprends ses esprits. 

Histoire

« La vie est chaotique oui... un torrent violent et glacé...  s'en débattre, essayez de nager pour se maintenir à la surface, aller contre lui, c'est souhaiter mourir. Mais y plonger, y accepter sa violence et s'y fondre... Voici une voie. Celle qu'enseigne le Nord. » | Maëla Kovah

Maëla... Un prénom doux, aux sonorités de miel.. Un prénom de fille qui écoute sagement les leçons de sa mère. Le prénom d'une épouse qui enlace tendrement son mari. Allyna et Damian Kovah et n'auraient plus mal choisir pour leur premier-né.
« À celle-là, on ne fera pas tanner de la peau et tisser du lin » s’amusait la vieille guérisseuse du village. On s’émerveilla de sa peau de neige et ses cheveux d’ébène. Maëla grandit vite et en hauteur, et ne tarda pas à voir arriver dans sa vie ses petites sœurs, ce qui lui fournit l’occasion d’incarner sa position d’aînée de la fratrie.

Bien qu'elle afficha très tôt une grande ressemblance avec sa mère, Maëla fut toujours plus proche de son père. Partis pendant de longues périodes escorter les lointaines et fameuses caravanes, Maëla se forgea une image idéalisée de son père et de ses voyages.
Comme une grande partie des jeune Thuls, Maëla grandit dans le mythe des caravanes et des récits des guerriers qui revenait du sud. Elle rêvait d'accompagner son père, de vivre les mêmes aventures, de supporter de ses épaules les mêmes responsabilités.

Les alaviriens ne peuvent se rendre compte de ce que signifient les caravanes pour un Thül. Seule ouverture au monde d’un peuple frisant l’autarcie, ce n’est pas seulement du sel, des denrées que l’on ramène. Ce que l’on rapportait des caravanes, c’était des histoires.
Des récits d’aventures, de combat et d’honneur, de drôle d’histoire sur alaviriens et leur coutume, les énigmatiques mais non moins célèbres dessinateurs…

Partir un jour à son tour devint rapidement son obsession. Après tout, l’une de ses deux jeunes sœurs se décideraient bien un jour à reprendre le métier de sa mère. Maëla, elle, s’imaginait une énorme épée au poing, protégeant de frêle et peureux alaviriens contre des vagues d’immondes Raïs. En conséquence, et avec le sérieux des enfants passionnés et disciplinés, Maëla s’appliqua à se préparer à ce jour.
Volontaire, discipliné, exemplaire, elle endossa très tôt et de son propre chef ce rôle. Elle s’appliqua à rendre fier ses parents, disciplinée lors des cours de sa mère. Cela en devint presque une boutade à l’adresse de son père, puis de tout autre futurs parents du clan « S’il vous en vient une comme l’aîné Kovah, soyez certain que la famille sera gardé ! »

Comme tous les autres enfants, Maëla passait le plus clair de leur temps dehors. Il n’y avait tout simplement rien d’autre à faire. (Peut-être vient de là vient la légendaire vigueur des Thüls….) Mais brutalement, ses temps insouciants s'assombrirent, et les apprentissages aux armes et à la chasse prirent tout leur sens. Ce fut le jour où le clan fut secoué par la perte des Steredönn, parents des chefs de clan. Elle connaissant déjà son cadet Kylian, seul survivant de l'attaque meurtrière des goules, ayant pour compagnon de jeux en commun son cousin Ayden Steredönn.
Maëla n’avait été jusque là confrontée à la brutalité de la mort. L’absurdité, la fragilité, non pas seulement de sa propre vie, mais de celle de ses proches la frappa, d'autant plus cet évènement suivit la naissance de sa dernière sœur. Tout Thül connaissait le danger des goules au-delà des étendues glacés. Maëla en retenu la dure leçon, que c'était le clan et la multiplicité de ses membres qui les protégeaient les uns les autres.
Les adultes changèrent eux aussi, on ne laissait plus les enfants trop s'éloigner, ni trainer le soir, on colporter de terrible ragot sur des attaques de goules et pire encore, on murmurait que Raïs avaient été aperçu par-delà le pollimage.

Acceptant la gravité de la réalité, Maëla encore enfant, prit exemple sur les adultes et commença à revêtir un masque trop sérieux pour son âge. Cette ambiance de défiance alerte et morose servit de moule dans lequel son être se forgea dont ténacité, dévotion et pragmatisme furent les mots d'ordres. C'est à cette période où Maëla dès ses 12 ans développa un sentiment de dévotion incroyablement viscéral. Tel un loup qui veille sur le reste de sa meute, elle en vint à chaperonner ses sœurs et à prêter attention à tous leur geste. Tantôt elle les guidait, tantôt elle les corrigeait, elle devint ce modèle d’aîné incroyablement capable, perfectionniste, aidant et étouffant… Cet aîné qui a l’air constamment investi d’une mission supérieure, elle ne réalisa que tard la pression qu'elle avait pu être pour ses sœurs.

Et dans un moindre mesure les autres jeunes du villages. L'un de ses plus grands triomphes d'adolescente fut lorsque qu'on lui confia à soin d'aider à former à la traque les plus jeunes. secondes un adulte, un guerrier accompli du clan était l'une des plus belles récompenses qu'elle. Mais Maëla dans sa pudeur, ne cria jamais plus haut qu'un murmure la fierté qu'elle en tirait. "Être trop fier, cela empêche d'atteindre sa cible quand on tire à l'arc".
Toutefois son adolescence ne fut pas épargnée par son lot d'insouciance, grâce à la l’intervention du trouble-fête de la famille des Steredönn ! Ayden, grand blond prompt à la moindre bêtise, Ayden, c’était un rire sonore qu'on percevait d'un bout à l'autre du campment, un sourire large et sincère et, l’ami le plus proche que Maëlla ait eu, le seul qui avait le don de la dérider. Maëla grandit et s'entraîna en compagnie d'Ayden et de son cousin Kylian, avec qui elle développa des liens affectueux, du moins à la mesure de la jeune guerrière.
Ce fut un grand vide pour Maëlla quand Ayden partis du clan pour travailler sur les caravanes.
Incroyablement pudique, elle ne s’avoua jamais elle-même ses réels sentiments pour son aîné.



Maëlla eut finalement l’occasion qu’elle attendait depuis toujours, et elle partit à son tour exercer le métier d’escorte de Caravane. La vie nomade lui était familière, mais la compagnie des gens du sud lui fut tout à fait nouvelle et dérangeante. Elle se rendit compte à quel point elle avait idéalisé le métier de son père. Sa carrure forte et son masque peu commode lui assura un travail facile et elle fut rapidement recommandé d’une caravane à une autre.
Jeune adulte, elle exerçait enfin le rôle honorable d’escorte de caravane, ce pourquoi elle s’était entraîné dur toute son adolescence…

La vie de caravane était finalement loin de ce qu’elle imaginait.
C’était un terrible paradoxe pour Maëlla que devoir être loin pour protéger de ceux qui lui sont cher.
Elle se demanda si elle avait vraiment voulu un jour partir. Ce destin tout tracé et honorifique qu’elle s’était destiné, n’avait pas la saveur de ces rêves d’enfance. Le nord lui manquait, elle n’avait jamais considéré qu’on puisse la considérer comme une étrangère, elle s’attendait à un certain respect dû à la protection qu’elle offrait à ces voyageurs peu débrouillard. Mais les alaviriens avaient un concept du service très étranger, et se contentait de manifester leur redevance uniquement en monnaie sonnante et trébuchante. Les honneurs ne venaient pas.
Elle avait toujours pensé que son peuple faisait cadeau aux alaviriens de leur protection, elle réalisa que les alaviriens pensaient l’extrême inverse, comme si son peuple lointain et barbare méritait qu’on lui fasse l’aumône.
Certains voyageurs alaviriens se montraient particulièrement ingrats et méprisant envers les Thüls venus pourtant de loin pour protéger ses habitants à peine plus débrouillards que du bétail…
Toutefois la vie de nomade lui plaisait, elle continuait d’entendre parler de toutes ses villes qu’elle n’était pas certaine de voir un jour : Al-Chen, Al-Poll, Al-Jeit… Elle découvrait à travers le spectacle de marionnettes pour les enfants, les ragots des soldats qui remontaient à la citadelle, les échanges entre les voyageurs de villes différentes. Dans son clan, Maëlla était une guerrière reconnue, une chasseresse accomplie et l’immensité sauvage était son monde. Mais au milieu de ces citadins, elle était une barbare inculte à l’accent fort et à la carrure bien trop exagéré pour une femme.

Puis la guerre contre les Raïs arriva.
Les temps s’assombrirent et les caravanes de voyageur s’amenuisèrent. Mais Maëlla ne se retrouva pas sans travail.
Au contraire, la multiplication des convois militaires et la demande de nordique connaissant bien la région lui fournit bien assez de travail. L’accompagnement des ces convois devint presque son unique activité d’escorte, qu’il s’agisse de ravitaillement ou de soldat.
Maëlla comme tous les Thüls haïssait les Raïs. La 1ère qu’elle vit les charniers lui suffit. Lorsqu’elle vit de ses propres yeux les immondes guerriers cochons elle comprit très vite que les clans du nord ne pourraient lutter seuls contre cette engeance…

Maëlla avait peur pour son clan, peur pour son peuple. Déjà disséminés, isolés, aussi forts soient-ils, ils ne pourraient vaincre une armée de monstre.
Même si cela reniait leur tradition, leur principes, leur orgueil, Maëlla dut admettre que les Thüls avaient besoin de l’empire, pour que ceux-ci garde la citadelle comme rempart contre l’armée de créatures immondes.
Mais les alviriens avaient besoin des Thüls pour les guider jusqu’au frontalier.  

Alors Maëlla Kovah, du clan Othalla, y pourvoirait.

Informations personnelles

Citation de vous même | Fels, mais ça changera bien vite ici
Pseudo | Fels, mais ça changera bien vite ici
Age réel | 22 ans
Pays d'origine | France (Bretagne et Normandie /o/)
Parlez-nous de vous | étudiante en BD/Illustration, passionnée de cuisine et de montagne
Familier avec l'univers de Pierre Bottero ? Oui, j'ai relu la première trilogie il y a peu, toutefois je n'ai jamais lu les Ellana. Ma mémoire me fait défaut sur quelques éléments mais je me sens toujours assez imprégné de l'univers !

Comment avez vous connu le forum ? Je ne sais plus, je suis tombée dessus la 1ère fois il y a trois ans je crois, et il me faisait déjà de l'oeil !
Un commentaire sur le forum ? Très beau !
Du point de vue d'une nouvelle inscrite, le problème des liens morts a été assez sportif pour retrouver certaines infos (je n'ose imaginer la quantité de travail pour corriger ça...)

Demandes particulières |

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Bienvenue en Gwendalavir


Bienvenue sur le forum, Maëla !

Cette fiche est prometteuse !  Oh oui !  Oh oui !
J'ai renommé le compte existant pour Maëla et le pseudo est de nouveau disponible du coup. Je te laisse mettre ton pseudo à jour, ce que tu peux faire dans ton profil.

Je t'invite à consulter l'Encyclopédie si tu as des questions sur l'univers de Gwendalavir.
Tu peux également aller jeter un œil au guide du Nouveau Joueur pour t'aider à bien débuter sur le forum et construire ta fiche.
Finalement, tu peux aller faire une demande de parrainage si tu en ressens le besoin.

Lorsque tu as terminé, tu dois passer par ce sujet pour le signaler. Cela nous permet de te recenser plus facilement.

Tu peux aussi nous rejoindre sur Discord. Pense à inclure ton pseudo du forum dans ton pseudo sur le serveur. !

N'hésite pas à me contacter personnellement par MP pour toutes demandes ou questions !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche.  Happy 2

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Encore bienvenue, Maëla Deadly Hug C'est un merveilleux choix de prédéfini !!! Courage pour la fin de ta fiche houray

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Merci à vous deux  Maëla Kovah 3132257210  
La rédaction de l'histoire est bien entamée, j'ai eu un gros imprévu ces derniers jours qui m'a empêché d'avancer sur la fiche. Cela ne devrait pas tarder à se compléter...

UP : histoire terminée ! J'ai fait bien plus concis que ce que je fais d'habitude, j'espère que cela vous conviendra ~

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Fiche Validée


Me voilàà! Le code est le bon, je te le valide!

Et du coup... Je déclare cette fiche officiellement validée!! houray  Que dire, quel plaisir de te lire, tu as une superbe plume, je n'arrêtais pas de sourire bêtement, j'adore vraiment ce que tu as fait de Maëla, c'est déjà un prédéf incroyable, tu l'as rendu encore meilleure!! thatlook Du coup, je n'ai absolument rien à redire sur ta fiche qui est superbe, bravo encore! File, maintenant Happy 2

N'hésite pas à faire ton journal de personnage.
Tu peux également faire une demande de RP et une demande de lien.
Enfin, tu peux allez jeter un œil aux quêtes !

L'équipe administrative reste toujours disponible pour toutes demandes ou questions.
Bienvenue encore parmi nous et bon jeu à toi! lèche

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