descriptionRencontre impromptue
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Le capitaine d'Al-jeït avait passé les journées précédentes en voyage, et celle-ci à se reposer chez une connaissance, avant d'aller la nuit à son point de rendez-vous. Un rendez-vous de nuit était beaucoup plus suspect qu'un rendez-vous de jour, mais aussi beaucoup plus discret, surtout en connaissant les bonnes places, les bons lieux, et les bons passages. Ses années d'entraînement, ses années de missions et de services pour les mercenaires lui avaient permis de plutôt bien connaître les villes, reconnaître les bons passages. Il savait également reconnaître un bon garde et un mauvais garde, et connaissait bien des ruses. Passer son temps à traquer les criminels en en étant soi-même un, cela aidait dans tous les aspects de ses travails.
Aujourd’hui, son travail consistait à récupérer des noms auprès d’un homme, des noms qu’il devrait prendre en chasse. C’était plus simple pour lui de se déplacer, même depuis Al-Jeït. On le mettait en contact avec quelqu’un qu’il devait retrouver dans une ville, et ainsi, deux personnes seulement connaissaient ces noms-là. Si le rendez-vous venait à être surpris, les personnes n’auraient pas la puce à l’oreille, et au moins cela se déroulait loin de son lieu de couverture. Jusqu’à maintenant, le pire problème qui était arrivé se trouvait être un piège. Quelqu’un avait eu vent du rendez-vous, son contact avait un peu trop parlé. Mais cette fois, ce ne fut pas le cas, et ils ne furent guère dérangé ni vu par quiconque, du moins c’est ce qu’il semblait. Oriss nota les noms dans sa tête avant de déchirer le papier et de laisser les morceaux tomber sur le sol mouillé. Ces quatre personnes se trouvaient normalement à Al-Jeït, il allait avoir du travail à son retour. Mais tout d’abord, il comptait bien profiter de son séjour pour aller récupérer des informations.
Son lieu de renseignement ici se trouvait loin, planqué. Au sein d’un gang qui entendait tout, et dont il savait que jamais il ne se déplacerait jusqu’à Al-Jeït. Trop pauvre, trop de danger, trop de contraintes, tous déjà condamnés à leur misérable vie de criminels. Mais cela ne lui faisait pas grand-chose, il avait l’habitude d’utiliser des gens. Au moins leur donnait-il quelques pièces, et quelques provisions. Ceux-ci l’appréciaient, même s’il ne passait pas souvent, il faisait toujours son petit effet. Il marchait d’un bon pas dans la rue pour s’y rendre.
Aujourd’hui, son travail consistait à récupérer des noms auprès d’un homme, des noms qu’il devrait prendre en chasse. C’était plus simple pour lui de se déplacer, même depuis Al-Jeït. On le mettait en contact avec quelqu’un qu’il devait retrouver dans une ville, et ainsi, deux personnes seulement connaissaient ces noms-là. Si le rendez-vous venait à être surpris, les personnes n’auraient pas la puce à l’oreille, et au moins cela se déroulait loin de son lieu de couverture. Jusqu’à maintenant, le pire problème qui était arrivé se trouvait être un piège. Quelqu’un avait eu vent du rendez-vous, son contact avait un peu trop parlé. Mais cette fois, ce ne fut pas le cas, et ils ne furent guère dérangé ni vu par quiconque, du moins c’est ce qu’il semblait. Oriss nota les noms dans sa tête avant de déchirer le papier et de laisser les morceaux tomber sur le sol mouillé. Ces quatre personnes se trouvaient normalement à Al-Jeït, il allait avoir du travail à son retour. Mais tout d’abord, il comptait bien profiter de son séjour pour aller récupérer des informations.
Son lieu de renseignement ici se trouvait loin, planqué. Au sein d’un gang qui entendait tout, et dont il savait que jamais il ne se déplacerait jusqu’à Al-Jeït. Trop pauvre, trop de danger, trop de contraintes, tous déjà condamnés à leur misérable vie de criminels. Mais cela ne lui faisait pas grand-chose, il avait l’habitude d’utiliser des gens. Au moins leur donnait-il quelques pièces, et quelques provisions. Ceux-ci l’appréciaient, même s’il ne passait pas souvent, il faisait toujours son petit effet. Il marchait d’un bon pas dans la rue pour s’y rendre.