descriptionLes retrouvailles [Syane & Elleynah]
Il était un peu moins de cinq heures du soir lorsque la Citadelle lui apparut. Elle était toujours époustouflée par son architecture, qui donnait l'impression que les quatre tours principales caressaient les nuages. Cela faisait plus d'un an qu'elle n'était pas venue, occupée par la découverte d'horizons nouveaux. Mais son envie de toucher des sommets, et son désir de revoir une amie particulièrement chère à son cœur avaient guidé ses pas. Elle n'avait prévenu personne de son arrivée, mais elle n'avait jamais été mal reçue.
Elle ne se sentait pas presser d'arrivée. Elle était bien, là, dans le froid et la solitude. Elle avait une vue à toutes épreuves sur tout le paysage environnant, et la Chaîne du Poll s'élevait avec une majesté qui forçait au respect. C'était aussi pour ces montagnes qu'elle avait fait un si long voyage. Rien n'est impossible pour un Marchombre. Rien n'est inaccessible. Et c'était la réputation qu'elles avaient d'être infranchissable qui lui donnait envie de les franchir. Et elle y arriverait. Elle n'en doutait pas une seule seconde.
Elleynah mit un peu moins d'une heure à arriver aux portes de la Citadelle. Elle arrêta son cheval, puissant et immaculé, et mit pied à terre. Presque aussitôt, on vient lui ouvrir et elle pénétra dans l'immense repère des frontaliers. Elle ne s'y sentait pas comme une étrangère, bien au contraire. Cet endroit était pour elle un foyer, même si elle n'avait pas souvent l'occasion de s'y rendre. Un jeune homme voulut prendre son cheval en charge, et elle lui confia à contre cœur, en se promettant de passer voir si tout allait bien un peu plus tard dans la soirée. Après cela, elle s'engouffra dans une des immenses tour, là où on lui avait indiqué pouvoir trouver son amie.
Elle grimpa, aussi silencieuse qu'une ombre, et s'arrêta devant la salle. Il y avait une porte en bois massif, qui avait du nécessiter des jours d'un travail acharné pour arriver à un tel résultat. La Maître Marchombre l'ouvrit silencieusement, et tel un songe, pénétra à l'intérieur. C'est à peine si elle respirait, à peine si elle donnait l'impression d'être en vie. A peine si elle semblait réelle.
Elle ne se sentait pas presser d'arrivée. Elle était bien, là, dans le froid et la solitude. Elle avait une vue à toutes épreuves sur tout le paysage environnant, et la Chaîne du Poll s'élevait avec une majesté qui forçait au respect. C'était aussi pour ces montagnes qu'elle avait fait un si long voyage. Rien n'est impossible pour un Marchombre. Rien n'est inaccessible. Et c'était la réputation qu'elles avaient d'être infranchissable qui lui donnait envie de les franchir. Et elle y arriverait. Elle n'en doutait pas une seule seconde.
Elleynah mit un peu moins d'une heure à arriver aux portes de la Citadelle. Elle arrêta son cheval, puissant et immaculé, et mit pied à terre. Presque aussitôt, on vient lui ouvrir et elle pénétra dans l'immense repère des frontaliers. Elle ne s'y sentait pas comme une étrangère, bien au contraire. Cet endroit était pour elle un foyer, même si elle n'avait pas souvent l'occasion de s'y rendre. Un jeune homme voulut prendre son cheval en charge, et elle lui confia à contre cœur, en se promettant de passer voir si tout allait bien un peu plus tard dans la soirée. Après cela, elle s'engouffra dans une des immenses tour, là où on lui avait indiqué pouvoir trouver son amie.
Elle grimpa, aussi silencieuse qu'une ombre, et s'arrêta devant la salle. Il y avait une porte en bois massif, qui avait du nécessiter des jours d'un travail acharné pour arriver à un tel résultat. La Maître Marchombre l'ouvrit silencieusement, et tel un songe, pénétra à l'intérieur. C'est à peine si elle respirait, à peine si elle donnait l'impression d'être en vie. A peine si elle semblait réelle.