[Dessinateur] Dayanara Mil'Ozorine - 36 ans

- Châtaine. Cheveux longs, mais toujours remontés en coiffure complexe ou pratique.
- Taches de rousseur sur le nez
- Yeux verts
- Peau légèrement mate naturelle
- Vêtu toujours de vêtements colorés, issu des grands couturiers de la capitale. Aborde plusieurs bijoux fins, de bijoutiers renommés. Daya affectionne plus particulièrement l'or à l'argent. Elle aime particulièrement faire profiter de son argent aux artisans d'Al-Jeit.
- Les armoiries de sa famille sont un cercle de roses surmontés d'un Tigre doré.
- Elle est mince et élancée, gracieuse, chacun de ses gestes étant calme et mesuré. Elle a un port de tête haute, mais réservée. Elle n'est que rarement au premier plan, sauf lorsqu'elle entre dans ses fonctions de diplomate ou qu'elle parle de ses recherches en histoire.
- Elle dégage une impression de calme, de retenue, de contrôle, et si elle n'en impose pas aux premiers abords, sa voix impose le respect dans les cercles intellectuels.

- Dayanara est une intellectuelle, une érudite renommée de la cour Impériale. Elle passe plus de temps dans les bibliothèques qu'en compagnie d'humains.
- Elle est plus introvertie qu'extravertie.
- Elle est souriante, polie et tout ce qu'il y a de plus "convenable" en public. En privé, avec les rares personnes qui la connaissent vraiment, elle est plus libre, se défait rapidement se ses souliers, rit aux éclats et se montre forte d'un humour et d'une joie de vivre intense.
- Elle est passionnée. Littéralement passionnée par l'histoire de Gwendalavir. Elle est d'ailleurs spécialisée dans l'histoire de l'Empire en lien avec le Dessin. Elle en parle avec ferveur, s'illuminant dès que le sujet est abordé, et adore donner des conférences sur le sujet.
- Ce n'est pas quelqu'un qui s'ouvre facilement et qui reste généralement emmuré dans les convenances officielles. Elle est pourtant très douce, sincère, attachante et à une tendance maladive à vouloir prendre soin de ses proches. Elle a un instinct maternel très fort.
- Elle est curieuse, intelligente, logique, mais également rêveuse. Elle est intéressante et intéressée, très pédagogue et humaine, elle ferait une professeure d'exception.
- Elle a dû prendre sa place, s’entrainer grandement, afin de surmonter sa timidité naturelle et pouvoir devenir la conseillère impériale et diplomate qu'elle est. Malgré tout, elle reste discrète, et si elle a appris à ne plus faire trembler sa voix lorsqu'elle s'exprime en public, affichant l'air le plus sur d'elle qui soit, elle ne vit pas moins énormément de stress et d'angoisse à l'intérieur d'elle même.

- Dayanara est la fille aînée d'une haute et réputée famille d'Al-Jeit. Elle a un frère plus jeune.
- Sa famille est spécialisée dans la stratégie martiale, et la fortune familiale a été grandement bâtie sur le compte des guerres passées de l'Empire. Aujourd'hui, ses parents, elle et son frère, sont des membres importants de la cour, autant pour leur fortune que leur place de conseillers impériaux.
- Daya grandit au cœur du monde guindé de la cour. C'est une enfant très timide qui a peur des foules et qui s'adapte mal à son statut de fille aînée d'une si importante famille. À 8 ans, elle se fait une amie qui partage son malaise, Eleanor Nil'Lysah. Eleanor lui apprend très tôt à s'éclipser en douce des réceptions et autres mondanités publiques pour explorer les manoirs et le palais impérial. Daya en profite pour visiter toutes les bibliothèques qui lui sont possibles de croisé, en secret.
- Elle adore les livres, et tous ses moments libres (lorsqu'elle ne suit pas mille-et-un cours de diplomatie, de bienséance ou de couture) sont passés à la bibliothèque de leur grande maison. Elle se passionne très tôt pour les écrits historiques.
- C'est plus tard qu'elle s'intéressera au dessin, lorsque, adolescence, on la place lors d'un banquet aux côtés d'une Sentinelle. La femme lui parle de son Don, de l'Académie, et Dayanara est grandement émerveillée par ce nouvel univers. Aussi, lorsqu'elle montre des dispositions pour le dessin à l'âge de 16 ans, on la fait rapidement testée chez un Analyste puis l'inscrit des cours privés de Dessin préparatoire à l'entrée à l'académie. Elle entre à l'Académie de Dessin d'Al-Jeit à 18 ans.
- À l'académie, c'est une élève brillante qui excelle dans la théorie, mais qui est plutôt dans la moyenne niveau pratique. Elle est plutôt solitaire, faisant profil bas, se faisant très peu d'amis et étant entièrement versée dans ses études.
- Après ses études générales sur le dessin, elle décide de poursuivre vers des études supérieures, orientées vers l'histoire du Dessin. Elle mènera plusieurs recherches (grâce à l'argent familial) qui innoveront dans son domaine et apporteront renommée et prestige autant sur sa personne que sur sa famille. Ses parents sont extrêmement fiers et lui octroient des fonds pour fonder une chaire de recherche. Elle dirige cette chaire aujourd'hui, s'entourant de jeunes étudiants et graduant de l'Académie pour porter à bien ses projets.
- Si son nom n'était pas assez, sa renommée comme érudite lui assure dès 26 ans une place de conseillère auprès de l'Empereur. C'est pourtant une surprise pour elle et elle traverse les premiers temps de cette nouvelle fonction avec un taux d'angoisse extrêmement élevé. Elle fait des jaloux, mais plonge corps et âme dans son travail et ses recherches, ce qui la tient généralement éloignée des aléas mondains.
- Elle se rend régulièrement dans les différentes villes de Gwendalavir, pour faire des recherches, donner des conférences ou mener à bien de petites missions diplomatiques au nom de l'Empereur auprès des intellectuels et conseillers  d'Al-Chen et Al-Vor.
- Elle ne s'est jamais mariée, n'ayant même jamais eu le temps de se consacrer à se trouver un bon parti, trop occupé par son travail qui a transformé sa vie en tornade (au grand désarroi de ses parents qui n'ont pourtant de cesse de lui présenter des soupirants hautement respectables et prisés de la cour). Mais de toute façon, la lignée de leur famille est garantie en le fils de son frère, qui s’est marié il y a 5 ans (circonstances laissées libres).