Nethaniel Ril’Meyan

Nom | Ril’Meyan
Prénom | Nethaniel
Sexe | Homme
Âge | 28 printemps, né en l’an 140, au début de l’été.
Lieu de Naissance | Turnua, petite ville marchande et productrice de vin sur la côte, à deux heures au sud d’Al-Vor.
Peuple | Alavirien.
Métier | Fantassin de la Légion Noire.

Devant vous, un homme de belle stature qui se tient droit. Dans les un mètre quatre-vingt douze, il est difficile pour lui de passer inaperçu.
Son corps est musclé et pas une sale trace de gras superflu ne traîne, lui donnant une aura de force tranquille mais brute. Taillé pour le combat, ses biceps et ses mollets sont de loin les portions de son corps les plus travaillées, pour permettre à Nethaniel de se déplacer rapidement sur ses appuis, et d'asséner des coups puissants. Il n’est en revanche, pas totalement dans la force basique et dévoile à l’occasion une agilité surprenante.
Le jeune homme se bat de façon très mobile. Ayant opté pour une épée bâtarde qu’il manie à une main bien volontiers, Nethaniel n’hésite pas à rouler, sauter ou donner des coups de pieds et de poings pour esquiver, sonner son adversaire et prendre l’avantage. Au début, il fut souvent moqué par ses camarades au vu de son choix de style combattant qu’on qualifia de style “danseuse”, mais force fut rapidement de constater qu’il obtenait des résultats plus probants que la plupart de ses frères d’armes avec des styles plus classiques.
Cependant il ne s’arrête pas au seul maniement de l’épée. Il a aussi recours à deux hachettes lorsque le combat se fait en rapproché, contre de nombreux ennemis dans une pièce fermée, ou même pour achever un fuyard. Pour finir sur ses talents martiaux, le Légionnaire est aussi un relativement bon archer, même s’il se ferait battre à plate couture par un spécialiste dans ce domaine. A peine est-il pour abattre une cible à une trentaine de mètres, guère plus. Il est très mauvais au tir à l’arc à cheval, surtout quand celui-ci est lancé à une allure vive. Globalement, il utilise son arme à distance plus pour chasser lors de ses missions que réellement en combat.
Il porte l’armure de vargelite en mission, comme tous ses camarades. Celle-ci a cependant été adaptée à son style de combat, et raccourcie à la taille, ses jambes et ses bras étant couverts de morceaux indépendants du tronc, laissant ses articulations libres de toutes contraintes. En civil, il portera des tenues simples et pratiques, souvent en coton ou en laine, dans ses tons foncés. Son titre l’oblige plus rarement à arborer des vêtements de facture plus coûteuse, ornées de broderies d’or ou d’argent, discrètes. Les coupes sont droites et ajustées à sa carrure, toujours sombres, l’homme s’étant visiblement habitué à porter seulement du noir ou ses dérivés, à cause de la vargelite.
Sûr de lui et de son physique avantageux, Nethaniel se tient droit, sans rien à avoir à cacher ou à avoir honte. Le visage souvent barré d’un sourire canaille et provocateur, il est le genre typique d’homme un peu ombrageux qui fait rêver ces demoiselles.
Son visage, déjà marqué de nombreuses petites cicatrices, est tanné par la soleil et, de même que toutes les parties exposées de son corps, bronzé. Les pommettes hautes et la mâchoire carrée, il laisse souvent une barbe d’un brun foncé lui manger le bas du visage, par flemme de s’en occuper. Il n’est donc pas rare de le voir avec un duvet de quelques jours à quelques semaines, parfois même un bouc qu’il tresse, jusqu’à ce qu’il se fasse recadrer par ses supérieurs et qu’il ne doive tout raser.
Ses yeux sont d’un bleu assez perçant, quoique globalement plutôt commun. Ils oscillent entre le bleu-gris par temps clair, au bleu-nuit, voir, carrément au noir dans l’obscurité lunaire. On peut souvent y lire une apparente bonne humeur, un soupçon de défi ou de moquerie, et une intelligence qu’il n’envie pas aux plus grands.

Vous l’aurez compris, le Légionnaire est quelqu’un qui est plus complexe qu’il n’en a l’air.
La première chose qui vous frappera c’est l’impression qu’il renvoie de ne jamais rien craindre, pas même une sanction disciplinaire ou une combat. Nethaniel ne laisse jamais rien filtrer de ses faiblesses et de ses peurs et les verrouille toujours tout au fond de lui, derrière une armure faite de provocation, de séduction, de sorte à toujours garder le contrôle des situations ou des conversations. C’est exactement pour cette raison qu’il fuit les réunions ou les réceptions, basées essentiellement sur les faux-semblants, les apparences et les subtilités de langage.
Il maîtrise sans trop de difficultés l’art oratoire mais ne s’y intéresse pas. Pour lui, si quelque chose doit être dit, c’est clairement et de façon efficace. C’est un trait de caractère sans nul hérité de sa formation militaire et du franc-parlé des Maîtres d’Armes et de sa hiérarchie. De cette façon, il a tendance à mépriser à vue les gens un peu maniérés dans leurs propos, jugeant que souvent ils enrobent des paroles pour la plupart vides de sens.
Si Nethaniel paraît canaille et dans le conflit au premier abords, il faut en général peu de temps pour comprendre qu’il voue un véritable respect à ses supérieurs et à ses camarades, là où il dénigrera volontiers quelqu’un qu’il ne juge pas digne de sa considération.
Le Légionnaire n’est pas tendre avec les faibles qui ne font que se plaindre. Il abhorre les gens qui vivent aux crochets des autres et au dépend de la société. Pour lui, tout est possible, pour peu qu’on s’en donne les moyens. Quelles que soient les options, il part du principe qu’il faut les saisir, même si elles ne nous conviennent pas, plutôt que d’attendre un changement qui ne viendra jamais seul, sans raison. C’est un trait de caractère hérité en réaction à la lente déchéance de son père, pendant tout son adolescence.
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, malgré sa tendance à charmer toutes les jolies demoiselles qui passent, quitte à avoir des ennuis avec les pères, frères, fiancés de celles-ci… Il n’en a pas laissé beaucoup franchir le pas de la porte de sa chambre. Elles ne sont pas nombreuses à avoir fait fléchir son inflexible fidélité aux valeurs familiales de la femme unique et que l’on lie pour la vie. Une facette de lui qu’il cache également soigneusement en séduisant à tours de bras.
Nethaniel ne boit presque pas d’alcool. Il a un rapport à cette boisson conflictuel, surtout le vin. Il trouve que ce breuvage, sucré et fruité est le plus traître de tous. Après en avoir fait les frais, avec sa soeur et sa mère, il a bannit toute boisson alcoolisée de son régime alimentaire pour toute sa vie, traumatisé durablement par ce que l’alcool a fait de son père.
Le jeune homme a par ailleurs un humour légèrement acide qui, pour ceux qui n’y sont pas habitués, peu vite heurter et créer des situations tendues, où, amusé par celle-ci, il continue à en mettre des couches pendant que ses amis essaient de calmer le jeu pour éviter une baston généralisée.
Ses amis, justement, il en a un certain nombre dans l’armée et la Légion, mais aussi en dehors. Nethaniel sait être attachant, et les fêlures qu’il tente de cacher sont autant de points d’accroche pour les gens sensibles qui voudraient l’aider, lui apporter du soutien, sans que toutefois encore personne n’ai réussi.
Parfois le jeune homme se laisse aller à des élans de tristesse accablantes. Celles-ci peuvent survenir à peu près n’importe quand, sur la simple présence d’un élément extérieur qui fait ressurgir tel ou tel souvenir. Pour tenter de lutter contre ses “crises”, le Légionnaire fait régulièrement des exercices de tir sur cible à la dague tôt le matin, quand tout le monde dort encore.

Il y a vingt-huit ans, Nethaniel Ril’Meyan est né un début d’été en hurlant à plein poumons de Fraura Nil’Ghuny et Juergu Ril’Meyan, châtelains de père en fils depuis plus de trois siècles de la petite ville côtière et prospère de producteurs de vin de Turnua, à quelques deux heures direction plein sud d’Al-Vor.
Héritier attendu, il apporta avec lui beaucoup de joie aussi bien à ses parents qu’à leurs gens. Ce jour-là, on fit percer quelques fûts et on célébra la naissance comme il se dût, et des missives furent envoyées pour annoncer la bonne nouvelle à tous les voisins et à Al-Vor, pour enregistrer la naissance.
La petite enfance et l’enfance du petit garçon joyeux et affectueux fut paisible, rythmée par l’amour de ses parents et son éducation afin de reprendre, plus tard, les rennes de la ville-exploitation. Nethaniel était un enfant intelligent qui posait tout le temps des questions, qui voulait tout savoir du monde, et rapidement il apparut à son entourage que se contenter de la vie toute tracée qu’on lui avait choisie ne lui conviendrait pas, à terme.
Si sa mère, Fraura, regardait son fils grandir avec bienveillance, prête à le soutenir dans tout ce qu’il entreprendrait, il n’en allait pas de même pour son père, Juergu. L’homme était de plus en plus aigri par le vin et les attaques des Pirates Aline et l’impression qu’il avait que l’Empire ne faisait rien pour les aider, lui et ses voisins, à se défendre contre les attaquants venus des mers. Pour lui les problèmes Raïs étaient bien loin, tenant presque des on-dits, quand la menace des voiles noires étaient réelle et quasi-quotidiennement redoutée.
Nethaniel grandit à partir de ses six ans dans une ambiance au sein de leur manoir fortifié qui se dégradait à vitesse grand V. A sept ans, son père, pour la première fois, gifla sa mère. Aviné, elle avait tenté de le convaincre une nouvelle fois de renoncer à son projet d’aller à Al-Jeit demander en personne à l’Empereur de s’expliquer. Furieux qu’elle remette encore en cause ses décisions, Juergu n’avait même pas hésité et avait étalé sa mère d’un revers de main féroce. Le petit garçon, déjà trop intelligent, avait vite compris que le geste n’était pas anodin et que quelque chose s’était cassé entre les deux adultes auparavant affectueusement lié.
Fraura était alors enceinte et le soufflet, donné à huit mois et demi de grossesse, précipita l’accouchement. Dans la nuit, la triste dame donna naissance à une petite fille, qu’en l’absence de son mari, en train de noyer dans le vin sa déception de ne pas avoir encore un autre fils sur qui il pourrait compter plus tard, elle nomma elle-même Lya.
Au premier regard sur ce petit être aux immenses yeux bleus comme l’océan, le petit garçon aima tendrement sa sœur. Le regard vaillant, il posa sa petite main sur celle de sa mère et lui dit, le visage trop sérieux : “Je te protègerais Mère. Et Lya aussi. Je te le promets.”. Fraura pleura toutes les larmes de son corps à cette déclaration et l’enfant ne comprendrait que bien plus tard qu’elle avait alors pleuré de désespoir à la vue de son fils qui déjà, devait abandonner son innocence pour la protéger de son mari qu'elle avait tant aimé, et qu'elle aimait encore, au fond, espérant une prise de conscience chez l'homme qui se noircissait peu à peu.
A partir de là, Nethaniel se lança à corps perdu dans les études, notamment le combat, à la grande satisfaction de Juergu qui crut y voir une volonté de finalement prendre sa suite et de l’aider à défendre ses terres contre les Alines. Il accéda de fait sans discuter à la demande du jeune garçon d’avoir plus d’heures d'entraînement.
Les années passèrent ainsi, le fils s’acharnant à se perfectionner dans tous les domaines pour limiter les colères de son père alcoolique, la fille apprenant à être douce, délicate et parfaite. Leur mère abandonna peu à peu son rôle de conseillère et son amour envers le patriarche pour se concentrer sur l’épanouissement de ses enfants, et à l’aube des seize ans de Nethaniel, la famille était déchirée.
Lya était devenue une petite fille de neuf ans timide, discrète et douce, d’une gentillesse égale à celle de sa mère. De longs cheveux roux comme Juergu, les yeux bleu océan de Fraura, elle était une beauté fragile et éthérée qui promettait d’être rapidement célèbre à travers tout l’Empire. Déjà son père recevait des demandes de fiançailles avec des fils d’autres nobles, qui venaient des quatre coins du pays.
Un jour, Nethaniel, qui était toujours à l’écoute de sa jeune soeur, su par elle que Fraura avait encore reçu des coups en tentant de convaincre Juergu d’attendre pour accepter une quelconque proposition de lien. Après avoir pris le temps d’avoir rassuré sa soeur, et lui avoir demandé de rejoindre leur mère pour prendre soin d’elle, résolu, le jeune homme se leva et se dirigea d’un pas décidé vers le bureau de son paternel.
Déboulant sans toquer, il le trouva là, embourbé dans son gras libidineux de buveur invétéré, chevauché par une quelconque servante à peine plus vieille que sa soeur. La domestique, maintenue fermement par les cheveux, pleurait et sur sa joue s’élargissait un vilain bleu.
C’en fut trop pour l’héritier qui dégaina son épée et ordonna à son géniteur de laisser partir la jeune fille. Celui-ci, trop naïf ou alcoolisé pour prendre au sérieux la menace, ricana grassement et obligea la demoiselle à descendre et à s'occuper de lui plus bas, se moquant ouvertement de son fils. Celui-ci vit rouge et attrapa la victime pour la tirer hors de la portée ramollie de son ennemi, lui ordonnant d’aller se réfugier chez la maîtresse de maison. Une fois que cela fut fait, Nethaniel dégaina une dague et la planta dans la main de celui qui fut autrefois son père. Celui-ci ne réalisa pas tout de suite la portée du geste et la douleur et avant qu’un cri ne lui échappe, la lame de l’épée bâtarde de son héritier lui caressait la gorge. Une voix froide s’échappa des lèvres de Nethaniel, une seule : “C’était la dernière fois que tu faisais du mal à quelqu’un.” et d’un geste brutal, il l’égorgea.
Quand sa mère et sa sœur, en l’absence de nouvelles, arrivèrent sur les lieux du crime, elles trouvèrent le jeune homme le regard vide, assis dans un fauteuil en face du feu, les mains serrées sur la lame de sa rapière, saignant des paumes. Sans qu’aucune n’accorde plus qu’un bref regard au tyran qui avait fait de leur vie un enfer, elles s’occupèrent de leur sauveur avec soin. Aujourd’hui encore il garde les cicatrices de son épée dans le creux de ses paumes, comme un rappel immuable du crime dont il s’est rendu coupable.
Se posa ensuite la question de savoir quoi faire et quoi dire aux gens du domaine. Par chance ceux-ci vouaient depuis longtemps une affection sans faille à Nethaniel et sa sœur, qui s’étaient souvent amusés à courir le village et les champs, plus qu’à leur maître acariâtre qui ne sortait guère plus de son bureau que pour demander en hurlant plus de vin. Curieusement, la nouvelle de l’assassinat fut accueilli par le majordome et les quelques complices mis dans la confidence par un soulagement pudique. Ils aidèrent de leur propre chef à monter une histoire ressemblante en laissant des traces fabriquées de toutes pièces pour simuler une entrée par effraction et un meurtre commandité.
Quand les enquêteurs de la Légion arrivèrent, ils menèrent une rapide enquête et tous les témoignages se recoupant, de même que l’avis global de tous les habitants, qui consistait à dire que leur maître s’était fait beaucoup d’ennemis au cours des dernières années en étant sans manière et toujours dans la critique, il apparut vite évident que la thèse du meurtre était plausible et l’affaire fut classée.
Nethaniel reprit alors les rennes de son exploitation sous la houlette de sa mère, et avec son aide précieuse et ses conseils avisés, la remit sur les rails tant bien que mal, mettant presque une demi-décennie pour rétablir les comptes et la prestance ternie de sa famille. Mais plus le temps passait, plus sa mère ou sa soeur le surprenait à avoir le regard tourné vers l’extérieur, pensif et nostalgique et un jour, quand il n’était pas cynique et désabusé, malheureux. Après une longue réflexion, à l’aube de ses vingt ans, elles le firent venir dans la grande salle.
Main dans la main, la mère et la soeur lui confièrent que le domaine allait très bien et qu’elles sauraient s’en occuper, qu’il pouvait partir s’il le souhaitait, qu’elles comprenaient son envie de voyager, cette envie qu’il avait toujours eue, depuis le départ, et qu’il avait étouffé pour les sauver.
Il les prit dans ses bras, les remerciant et leur soufflant qu’il reviendrait aussi souvent que possible, fit ses affaires, et partit à Al-Vor.
Là-bas, rapidement, il se retrouva à court d’argent, personne n’acceptant d’embaucher un noble sans expérience du monde pour des expéditions. En désespoir de cause, il tomba dans les combats clandestins et avec des paris pour gagner de quoi vivre et ne pas retourner chez lui avec un échec cuisant sur le dos. Il refusait d’abandonner comme son père. Les occasions existaient, il fallait juste les saisir.
Un jour, sans qu’il le sache, quelques gardes de l’armée faisaient partie du public, incognito, en renfort à la garde la ville, et, à la fin de ses combats où il étala sans broncher tous ses concurrents, étant devenu le champion incontesté d’Al-Vor, ils firent une opération filet et embarquèrent tous ceux qui se trouvaient encore là.
Nethaniel fit partie des capturés et se retrouva au poste le plus proche. En apprenant son nom après enquête, les gardes de l’armée, surpris et impressionnés, lui demandèrent comment il s’était retrouvé là. Devant son envie de servir, d’être utile mais surtout de voyager, ils lui proposèrent de passer les tests de sélection pour entrer dans l’armée régulière. Le jeune homme n’hésita pas longtemps.
A l’aube de vingt-et-un ans, il entrait dans l’armée. Après six mois d'entraînement, le noble ayant déjà largement les bases du combat, il entra en service actif.
Après de nombreuses missions qu’il réussit avec succès, et ses propres améliorations au maniement des hachettes et de l’arc qui augmentèrent quelques peu ses compétences déjà fort appréciées, et trois ans d’affectations intensives et majoritairement couronnées de succès, malgré parfois les manières de faire peu orthodoxes, il fut sélectionné pour passer les tests de la Légion Noire.
Les quelques semaines qui précédèrent les sélections furent employées à un nouvel entraînement intensif pour Nethaniel qui voulait mettre toutes les chances de son côté pour rendre sa mère et sa soeur fières.
Il fut prit dans la Légion à sa grande satisfaction et après encore six mois d’apprentissage du maniement de la Lance, arme de prédilection du corps d’élite, il repartit en service actif.
Cela fait maintenant quatre ans qu’il sert sans jamais refuser une mission, parcourant l’Empire de long en large, ses faits d’arme étant régulièrement entaché par des faits de rixe dans les bars pendant ses haltes et d’accusations de séduction de la part de différents plaignant de tous horizons. Malgré tout, le jeune homme ne perd de vue son objectif de monter en grade et reste de fait prudent, n’allant jamais plus loin que la limite que ses supérieurs sont prêts à accepter.
Depuis quelques mois d’ailleurs, son nom se murmure de plus en plus dans les coulisses de la Légion, les détracteurs du Légionnaire canaille se faisant de moins en moins nombreux.

Pseudo | Seren !
Age réel | 28 ans (ça se demande pas normalement è.é) !
Pays d'origine | France.
Parlez-nous de vous | Je suis une femme de 28 ans (oui comme mon perso), fonctionnaire d’état. J’ai deux chats et une furette (et j’en suis complètement gâteau). Je suis en couple avec un homme qui a décidément bien de la patience depuis bientôt cinq ans ! J’adore lire, écrire, et geeker (je suis hyper douée à League of Legend) !
Familier avec l'univers de Pierre Bottero ? Oh que oui, j’ai lu tous ces bouquins au moins quatre fois ! Mais je devrais sans doute me rafraîchir la mémoire un de ces quatre héhé !

Comment avez vous connu le forum ? Topsite ! (euh non en fait par Alec je crois ?)
Un commentaire sur le forum ? Ce forum, un jour j’arriverais à y RP à mort à donf ! J’en ai envie, il est tellement beau et les personnages ont l’air tellement cools… J’ai hâte !

Demandes particulières | Serait-il possible de mettre “Légionnaire Noir” en titre de mon personnage ? Merci d’avance !

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