descriptionHelizabeth Anew
Helizabeth Anew
Marchombre Alavirien Commerçant(e)
Généralités
- Nom
- Anew
- Prénom
- Helizabeth
- Genre
- Femme
- Âge
- Date de Naissance
- Printemps de l'année 144
- Lieu de Naissance
- Al-Far
- Peuple
- Alavirien
- Métier
- Commerçant(e), Apprenti(e) Marchombre
Description Physique
Tout en se coiffant, la jeune femme regardait le reflet que lui détaillait son miroir. Une jeune femme, assez mince, engoncé dans une robe en toile beige, serré à la ceinture. Ceignant la taille, un tablier était superposé sur la robe, signe que la tenue était une robe de labeur et non d’apparat. Et puis cela se voyait à la matière. La jeune femme menue possédait un teint de porcelaine comme si le soleil ne l’avais jamais atteint, dû à ses origines nordiques, étant née à Al-Far. Ce teint très clair faisait ressortir à contrario ses yeux bleus comme l’océan qui se tintait en permanence d’une pointe de curiosité, leur propriétaire étant naturellement curieuse de tout ce qui l’entourait. A cela s’ajoutait une moue qui était très expressive, passant facilement d’une sourire sincère à une moue boudeuse, au fil des émotions de la jeune femme ou de si on lui apportait ses réponses. Tous ces éléments du visage était entourée par des boucles brunes qui faisait un peu ce qu’elle voulait quand elles étaient lâchées. La jeune femme passa ses mains sur son visage pour se reprendre et commença à attacher ses cheveux en un chignon serré, d’où s’échappèrent tout de même quelques mèches qu’elle glissa derrière ses oreilles. Lissant sa tenue de travail, la jeune fille se releva et vérifia qu’elle n’oubliait rien avant de mettre une cape sur ses épaules et sortir de son appartement. Sautillant plus que marchant dans les rues d’Al-Jeït, elle gardait la tête en l’air, l’air dans les nuages alors qu’elle regardait juste quelle tour elle pourrait escalader la prochaine fois. Dès qu’elle arriva à la taverne, elle prit son service et ne tardais pas à onduler entre les tables, un plateau dans les mains, servant leurs commandes aux clients qui se pressaient. Même si elle n’aimait pas ce métier, elle s’évertuait de garder le sourire pour donner le change. Elle évita également quelques mains baladeuses sur ses formes quasi inexistantes, sans doute des paluches d’hommes avinées qui ne faisait pas la différence entre une jeune femme sans forme opulente et la plus plantureuse des serveuses. Mais elle ne s’attarda pas sur cela car la tavernière l’appelait.
- Helizabeth accélère, des clients attendent.
- Helizabeth accélère, des clients attendent.
Caractère
Maman, pourquoi tu recouds comme ça. Maman, pourquoi le voisin pleure. Helizabeth, arrête avec tes questions et va donner ça à Maîtresse Reginu. Mais maman… File !
C’était souvent ainsi dans le foyer des Anew. Il faut dire aussi que Helizabeth avait toujours une foule de questions qui ne demandaient qu’à sortir d’entre ses lèvres pour obtenir leurs réponses. Elle n’y pouvait rien, elle se questionnait sur tout ce qui l’entourait, et cela depuis toujours. Et on pourrait croire que son flot se serait tari au fil des ans, loin s‘en faut. Elle avait toujours des questions, étant très curieuse de ce qui l’entourait. Mais parfois cela n’était pas le moment des questions et elle devait les retenir le temps que le moment soit venue. Pour sortir à un rythme plus soutenu. Ses parents, enfin plutôt sa mère, eu vite marre de ce flot perpétuel et décida de lui offrir à l’un de ses anniversaires un petit carnet de cuir qui ne payait pas de mine mais qui allait offrir au foyer un semblant de paix. Les pages de ce carnet étaient toutes vierges. Il allait servir de réceptacle à questions quand le moment ne serait pas opportun pour être posés quand le temps s’y prêterais. Cela marcha deux mois tellement Helizabeth avait de questions et que bizarrement les moments qui n’étaient pas propices aux questions avaient augmenter. Elle avait fini par en avoir marre d’attendre. Car oui, la miss n’était pas patiente non plus, enfin, pas sur les sujets qui lui importait. Et assouvir sa curiosité était important pour elle.
Helizabeth Anew redescendez là ! Mais maman le monde est si beau vu de haut. Et il est beau aussi si tu te casse la figure ? Helizabeth ? Viens pas pleurer quand tu te feras mal. Oui oui maman.
Et Helizabeth monta encore un peu plus haut dans l’arbre. Et elle adorait ça de braver les interdits pour découvrir son monde sous un autre angle, cela ajoutait une touche d’adrénaline à sa découverte et une pointe de danger. Car si elle était extrêmement curieuse, elle était également casse-cou pour assouvir sa curiosité. Surtout que les autres consacrait moins de temps à lui apporter ses réponses, donc elle devait les découvrir par elle-même, quitte à se mettre un peu en danger. Et puis quelques égratignures pour la vérité absolue, ce n’était pas cher payé et cela ne l’empêchait pas de continuer à courir et partir à la découverte de ses réponses.
Ainsi fonctionnait Helizabeth, enfin, principalement car elle avait quelques autres défauts mais moins importants.
C’était souvent ainsi dans le foyer des Anew. Il faut dire aussi que Helizabeth avait toujours une foule de questions qui ne demandaient qu’à sortir d’entre ses lèvres pour obtenir leurs réponses. Elle n’y pouvait rien, elle se questionnait sur tout ce qui l’entourait, et cela depuis toujours. Et on pourrait croire que son flot se serait tari au fil des ans, loin s‘en faut. Elle avait toujours des questions, étant très curieuse de ce qui l’entourait. Mais parfois cela n’était pas le moment des questions et elle devait les retenir le temps que le moment soit venue. Pour sortir à un rythme plus soutenu. Ses parents, enfin plutôt sa mère, eu vite marre de ce flot perpétuel et décida de lui offrir à l’un de ses anniversaires un petit carnet de cuir qui ne payait pas de mine mais qui allait offrir au foyer un semblant de paix. Les pages de ce carnet étaient toutes vierges. Il allait servir de réceptacle à questions quand le moment ne serait pas opportun pour être posés quand le temps s’y prêterais. Cela marcha deux mois tellement Helizabeth avait de questions et que bizarrement les moments qui n’étaient pas propices aux questions avaient augmenter. Elle avait fini par en avoir marre d’attendre. Car oui, la miss n’était pas patiente non plus, enfin, pas sur les sujets qui lui importait. Et assouvir sa curiosité était important pour elle.
Helizabeth Anew redescendez là ! Mais maman le monde est si beau vu de haut. Et il est beau aussi si tu te casse la figure ? Helizabeth ? Viens pas pleurer quand tu te feras mal. Oui oui maman.
Et Helizabeth monta encore un peu plus haut dans l’arbre. Et elle adorait ça de braver les interdits pour découvrir son monde sous un autre angle, cela ajoutait une touche d’adrénaline à sa découverte et une pointe de danger. Car si elle était extrêmement curieuse, elle était également casse-cou pour assouvir sa curiosité. Surtout que les autres consacrait moins de temps à lui apporter ses réponses, donc elle devait les découvrir par elle-même, quitte à se mettre un peu en danger. Et puis quelques égratignures pour la vérité absolue, ce n’était pas cher payé et cela ne l’empêchait pas de continuer à courir et partir à la découverte de ses réponses.
Ainsi fonctionnait Helizabeth, enfin, principalement car elle avait quelques autres défauts mais moins importants.
Histoire
Je suis née durant le troisième mois du printemps 144, à Al-Far, plus précisement le 5ème jour de la deuxième décade. Ma sœur jumelle me suivit de quelques heures, le temps que notre mère se remettent de ma naissance avant d’encaisser la deuxième. Je n’ai aucun souvenir, mais apparemment ce fut l’une des rares fois où mon père quitta la Citadelle pour venir à Al-Far, pour soutenir ma mère et prendre en charge notre frère, de deux ans notre ainé. Mais il repartit le lendemain car on avait besoin de lui sur le front, en prévision d’une attaque des Raïs. Notre quotidien dominical était ainsi, notre mère à Al-Far pour nous élever et notre père à la Citadelle où il exerçait son métier de Frontaliers. Normalement nous aurions dû grandir à la Citadelle mais la décision avait été prise que nous restions à Al-Far pour que nous ayons une enfance normale loin de la menace des Raïs et du froid de la Citadelle. Mère exerçait comme couturière et quand je fus assez grande, je l’aidais en transportant ses travaux dans les rues pour les rendre à leur propriétaire. Ainsi je découvrais la ville, m’octroyant des moments de libertés et de jeux où je courais dans les rues en riant avant de rentrer. Et parfois, quand il avait des permissions, Père rentrait quelques jours à la maison et nous racontait des histoires de combats épiques de nos ancêtres, de La Dame et de son amant Le Dragon. Nous formions ensemble une famille heureuse et soudée qui était prête à s’entraider.
Mais notre petite bulle se retrouva brisée le 1er mois du printemps de l'an 158, lorsque les Raïs envahirent nos contrées sous l’impulsion des Géants. Je me souviens que nous avions craint pour nos vies, qu’ils arrivent jusqu’à nous. J’avais quatorze ans à ce moment-là, et j’avais perdus mon innocence de petite fille, ayant conscience de ce qu’il se passait. Et quand un mois plus tard le Seigneur de la Citadelle décéda en tentant de retenir l’invasion, mon frère ainé se décida à rejoindre les rangs des Frontaliers pour les soutenir et se mettre au service du pays. Il avait seize ans mais la motivation dans le regard. Et il ne faut pas se cacher, Père était très heureux que son héritier le rejoigne, il en était même très fier. Surtout qu’ils avaient besoin de chair fraiche pour contenir l’invasion qui se rapprochait de plus en plus de Al-Far, et donc de nous. Mais leur avancé fut stopper un mois et une decale plus tard, à 100km de la ville, autant dire que l’on n’en menait pas large et avait échappé au pire. Mais la vie continuait son cours et j'aidais toujours Mère dans son affaire de couture, rapiéçant également quelques pièces, ayant appris la couture. Quand à ma jumelle, je voyais bien qu’elle étouffait à Al-Far, qu’elle voulait elle aussi suivre la trace de notre paternel, et je ne savais pas comment la soutenir, aimant ma petite vie sans grande ambition, au contraire d’elle. C’est pour cela que je ne fus pas étonnée quand elle annonça lors de la célébration de nos dix-huit ans qu’elle partait avec mon père et mon frère qui nous avait rejoint pour l’occasion. Je m’y attendais, forcément, et étais même étonnée qu’elle ait attendue quatre longues années avant de se décider pour de bon. On était en 162 et ma vie bascula car je me retrouvais seule avec ma mère à Al-Far. A partir de ce moment-là, mes pensées étaient tout le temps tournées vers la Citadelle, vers ma sœur jumelle qui avait décidé de suivre les traces de nos aïeuls. Bien sûr je m’inquiétais pour Père et mon frère, mais ils étaient moins proches de moi que l’était ma sœur jumelle. Et son départ commença à signer la perte de notre mère qui avait encaissé le départ de mon frère, mais savoir sa fille sur le front et pouvant mourir à tout moment lui assena un sacré choc et elle dépérit sous mes yeux sans que je ne puisse rien faire pour lui venir en aide si ce n’est la soulager de ses contrats de couture, les faisant en plus de les miens pour qu’elle se repose et se remette. Mais cela ne fut jamais le cas et elle décéda une nuit du 3ème mois d’automne de l’an 162, me laissant seule à Al-Far. J’envoyais un Chuchotteur à la Citadelle pour prévenir ma famille et repris son affaire pour perpétuer son travail. Bien sûr Père ne l’entendit pas de cette oreille et dès la première décade du deuxième mois d’hiver je reçus moult lettres venant de la Citadelle me demandant de les rejoindre, pour qu’on puisse veiller les uns sur les autres. Il mit même à contribution ma propre jumelle dans l’espoir de me convaincre, sans succès. Pendant deux mois j’avais gouté à la liberté, l’indépendance, et je n’étais pas prête de les abandonner. Et puis être Frontalier ne m’intéressais pas, je n’avais jamais eu l’âme guerrière, bien au contraire.
Lassée de recevoir missive sur missive, je décidais le premier jour de la première décade du deuxième mois d’hiver 162 de prendre mes bagages et disparaitre sans rien dire à personne, effaçant au maximum mes traces. Ma famille m’était très chère, là n’était pas le problème, mais le fait qu’ils n’acceptent pas ma décision de ne pas les rejoindre me faisait de la peine et m’obligeais à faire ce choix de l’exil, pour être tranquille et m’épanouir. Et quelle meilleure ville pour recommencer sa vie loin de la Citadelle que Al-Jeït. C’était décidé, je me rendrais là-bas.
Faisant mon bagage, je me mis rapidement en route et traversait le continent pour arriver une decade et demi après mon départ à destination, Al-Jeit. La ville était magnifique, défiant les lois de la gravité, du rationnel. Cela se voyait parfaitement qu’elle avait été créée par des Dessinateurs talentueux. Même si j’avais entendue des récits sur elle, je ne m’étais pas imaginée qu’elle serait ainsi. Curieuse de la découvrir, je l’arpentais des jours durant, cherchant à découvrir toutes ses facettes, n’hésitant pas à me mettre en hauteur dès que je le pouvais, bravant quelques interdits il me faut l’avouer, pour avoir un magnifique panorama. C’était même devenu un jeu pour moi, trouver la meilleure méthode pour accéder aux bâtiments les plus haut pour toujours voir un peu mieux mon nouveau foyer. Mais je ne me consacrais à cette activité qu’en dehors de mes horaires de travail en tant que serveuse dans l’un des bars de Al-Jeït. Je n’avais aucune vocation pour ce métier, il n’était qu’alimentaire pour moi, rien de plus.
Mais notre petite bulle se retrouva brisée le 1er mois du printemps de l'an 158, lorsque les Raïs envahirent nos contrées sous l’impulsion des Géants. Je me souviens que nous avions craint pour nos vies, qu’ils arrivent jusqu’à nous. J’avais quatorze ans à ce moment-là, et j’avais perdus mon innocence de petite fille, ayant conscience de ce qu’il se passait. Et quand un mois plus tard le Seigneur de la Citadelle décéda en tentant de retenir l’invasion, mon frère ainé se décida à rejoindre les rangs des Frontaliers pour les soutenir et se mettre au service du pays. Il avait seize ans mais la motivation dans le regard. Et il ne faut pas se cacher, Père était très heureux que son héritier le rejoigne, il en était même très fier. Surtout qu’ils avaient besoin de chair fraiche pour contenir l’invasion qui se rapprochait de plus en plus de Al-Far, et donc de nous. Mais leur avancé fut stopper un mois et une decale plus tard, à 100km de la ville, autant dire que l’on n’en menait pas large et avait échappé au pire. Mais la vie continuait son cours et j'aidais toujours Mère dans son affaire de couture, rapiéçant également quelques pièces, ayant appris la couture. Quand à ma jumelle, je voyais bien qu’elle étouffait à Al-Far, qu’elle voulait elle aussi suivre la trace de notre paternel, et je ne savais pas comment la soutenir, aimant ma petite vie sans grande ambition, au contraire d’elle. C’est pour cela que je ne fus pas étonnée quand elle annonça lors de la célébration de nos dix-huit ans qu’elle partait avec mon père et mon frère qui nous avait rejoint pour l’occasion. Je m’y attendais, forcément, et étais même étonnée qu’elle ait attendue quatre longues années avant de se décider pour de bon. On était en 162 et ma vie bascula car je me retrouvais seule avec ma mère à Al-Far. A partir de ce moment-là, mes pensées étaient tout le temps tournées vers la Citadelle, vers ma sœur jumelle qui avait décidé de suivre les traces de nos aïeuls. Bien sûr je m’inquiétais pour Père et mon frère, mais ils étaient moins proches de moi que l’était ma sœur jumelle. Et son départ commença à signer la perte de notre mère qui avait encaissé le départ de mon frère, mais savoir sa fille sur le front et pouvant mourir à tout moment lui assena un sacré choc et elle dépérit sous mes yeux sans que je ne puisse rien faire pour lui venir en aide si ce n’est la soulager de ses contrats de couture, les faisant en plus de les miens pour qu’elle se repose et se remette. Mais cela ne fut jamais le cas et elle décéda une nuit du 3ème mois d’automne de l’an 162, me laissant seule à Al-Far. J’envoyais un Chuchotteur à la Citadelle pour prévenir ma famille et repris son affaire pour perpétuer son travail. Bien sûr Père ne l’entendit pas de cette oreille et dès la première décade du deuxième mois d’hiver je reçus moult lettres venant de la Citadelle me demandant de les rejoindre, pour qu’on puisse veiller les uns sur les autres. Il mit même à contribution ma propre jumelle dans l’espoir de me convaincre, sans succès. Pendant deux mois j’avais gouté à la liberté, l’indépendance, et je n’étais pas prête de les abandonner. Et puis être Frontalier ne m’intéressais pas, je n’avais jamais eu l’âme guerrière, bien au contraire.
Lassée de recevoir missive sur missive, je décidais le premier jour de la première décade du deuxième mois d’hiver 162 de prendre mes bagages et disparaitre sans rien dire à personne, effaçant au maximum mes traces. Ma famille m’était très chère, là n’était pas le problème, mais le fait qu’ils n’acceptent pas ma décision de ne pas les rejoindre me faisait de la peine et m’obligeais à faire ce choix de l’exil, pour être tranquille et m’épanouir. Et quelle meilleure ville pour recommencer sa vie loin de la Citadelle que Al-Jeït. C’était décidé, je me rendrais là-bas.
Faisant mon bagage, je me mis rapidement en route et traversait le continent pour arriver une decade et demi après mon départ à destination, Al-Jeit. La ville était magnifique, défiant les lois de la gravité, du rationnel. Cela se voyait parfaitement qu’elle avait été créée par des Dessinateurs talentueux. Même si j’avais entendue des récits sur elle, je ne m’étais pas imaginée qu’elle serait ainsi. Curieuse de la découvrir, je l’arpentais des jours durant, cherchant à découvrir toutes ses facettes, n’hésitant pas à me mettre en hauteur dès que je le pouvais, bravant quelques interdits il me faut l’avouer, pour avoir un magnifique panorama. C’était même devenu un jeu pour moi, trouver la meilleure méthode pour accéder aux bâtiments les plus haut pour toujours voir un peu mieux mon nouveau foyer. Mais je ne me consacrais à cette activité qu’en dehors de mes horaires de travail en tant que serveuse dans l’un des bars de Al-Jeït. Je n’avais aucune vocation pour ce métier, il n’était qu’alimentaire pour moi, rien de plus.
Informations Personnelles
- Pseudo
- Petit Chat
- Age Réel
- 23 ans
- Parle-nous de toi
- Je suis une grande fille de 23 ans qui recherche actuellement une gentille entreprise qui voudra bien d'elle. Sinon j'adore lire et écrire. Je dois faire du RP depuis 3 ou 4 ans et depuis que j'ai commencé, je n'ai jamais vraiment arrêtée. Si besoin de d'autre informations, venez les demander, je ne mords pas
- Es-tu familier avec l'univers de Pierre Bottero ?
- Oui, j'ai tout lu.
- Comment as-tu connu le forum ?
- Recherche Google "Pierre Botero forum" et vous avez été le premier lien qui sortait
- Un commentaire sur le forum ?
- Je l'adore tout plein
- As-tu besoin d'un parrain ou d'une marraine ?
- Non, je me débrouille.