descriptionLa Ville d'Al-Far
Al-Far
Al-Far, quatrième ville de l’Empire par sa taille et première par le nombre de ses crimes nocturne, est une cité imposante cerclée de hautes murailles de pierres sombres. Elle est adossé à un flanc de la montagne de Far, nom pompeusement donné à un amas de rochers abrupts et saillants qui furent jadis une falaise, et qui est à présent un tas de cailloux servant de rempart naturel à la ville.
On entre à Al-Far par quatre portes. Soit la porte du Nord, s’ouvrant en direction des Marches glaciales. Soit par la porte du marché, à l’Ouest, d’où partent les caravanes itinérantes. Soit par la porte du Sud, dont la route mène en direction d’Al-Chen. Soit par la porte des mines, au Sud-Est, ainsi nommée à cause de sa proximité avec le quartier mineur.
Austère et menaçante, Al-Far était à l’origine un village de pionniers, qui s’est fortifié et agrandi. Chacune de ses pierre a, dit-on, été trempé dans le sang : celui des Raïs, des créatures sauvages, mais aussi celui de ses habitants, criminels et victimes mêlés. Les maisons sont généralement basses, dotées de deux étages maximum, sauf dans les hauts-quartiers où on peu atteindre trois étages : seules les grandes artères de la ville et les places de marché sont pavées : et les grandes artères de la villes sont en fait ce qui reste du tracé de ses anciennes murailles, abattues puis reconstruites plus loin à chaque extension de la cité. La ville est, dans l’ensemble, sombre, pauvre et agressive.
On entre à Al-Far par quatre portes. Soit la porte du Nord, s’ouvrant en direction des Marches glaciales. Soit par la porte du marché, à l’Ouest, d’où partent les caravanes itinérantes. Soit par la porte du Sud, dont la route mène en direction d’Al-Chen. Soit par la porte des mines, au Sud-Est, ainsi nommée à cause de sa proximité avec le quartier mineur.
Austère et menaçante, Al-Far était à l’origine un village de pionniers, qui s’est fortifié et agrandi. Chacune de ses pierre a, dit-on, été trempé dans le sang : celui des Raïs, des créatures sauvages, mais aussi celui de ses habitants, criminels et victimes mêlés. Les maisons sont généralement basses, dotées de deux étages maximum, sauf dans les hauts-quartiers où on peu atteindre trois étages : seules les grandes artères de la ville et les places de marché sont pavées : et les grandes artères de la villes sont en fait ce qui reste du tracé de ses anciennes murailles, abattues puis reconstruites plus loin à chaque extension de la cité. La ville est, dans l’ensemble, sombre, pauvre et agressive.
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