descriptionLlö - La fille de l'océan
Luanllö Nil'An
Marchombre | Mi-Faëlle, mi-Alavirienne | Pêcheuse de perles à ses heures perdues, voyageuse solitaire, fille de l'océan
Généralités
Nom | Nil'An. Son nom est le seul vestige de ces temps lointains où sa famille fréquentait les plus hautes sphères de la société. D'après Enÿo Nil'An, son père, l'une de ses lointaines arrière-grand mères paternelles fut mariée au frère de l'empereur en personne. Elle se retournerait probablement dans sa tombe si elle savait ce que sont advenus ses descendants...
Prénom | Luanllö
Surnom |Llö (se prononce "io")
Sexe | Femme
Âge | Trente ans, tout juste, mais elle ne les fait pas vraiment. On lui donnerait facilement cinq à dix ans de moins.
Lieu de Naissance | Sur l'Odyssée, navire marchand capable d'essuyer n'importe quelle tempête, quelque-part dans les eaux turquoises d'une petite crique au sud du pays Faël.
Peuple | Mi-Faëlle, mi-Alavirienne.
Métier | Marchombre, Llö ne reste jamais très longtemps au même endroit, comme l’eau fraîche et sauvage du torrent qui devient rivière, puis fleuve et océan. Elle est harmonie et lumière. Océan et douceur. Brise fraîche et liberté. Marchombre. D’accord, en soit, Marchombre n’est pas un métier.
Non, en vérité, la jeune femme sait s’adapter à toutes les situations. Tantôt aime-t-elle s’intégrer à une caravane d’itinérants, aussi discrète que redoutable ; tantôt apparaît-elle serveuse dans quelque bar citadin. Mais, ce qu’elle préfère par-dessus tout, c’est de pouvoir renouer avec son tout premier amour : la pêche en apnée, que ce soit poissons ou perles, elle a appris à maîtriser cette discipline très exigeante mais à la fois très proche de sa vision de sa Voie. Au fil de ses voyages, cela lui arrive de vendre des bijoux en perle de nacres ou en coquillage qu’elle aura fabriqué elle-même.
Prénom | Luanllö
Surnom |Llö (se prononce "io")
Sexe | Femme
Âge | Trente ans, tout juste, mais elle ne les fait pas vraiment. On lui donnerait facilement cinq à dix ans de moins.
Lieu de Naissance | Sur l'Odyssée, navire marchand capable d'essuyer n'importe quelle tempête, quelque-part dans les eaux turquoises d'une petite crique au sud du pays Faël.
Peuple | Mi-Faëlle, mi-Alavirienne.
Métier | Marchombre, Llö ne reste jamais très longtemps au même endroit, comme l’eau fraîche et sauvage du torrent qui devient rivière, puis fleuve et océan. Elle est harmonie et lumière. Océan et douceur. Brise fraîche et liberté. Marchombre. D’accord, en soit, Marchombre n’est pas un métier.
Non, en vérité, la jeune femme sait s’adapter à toutes les situations. Tantôt aime-t-elle s’intégrer à une caravane d’itinérants, aussi discrète que redoutable ; tantôt apparaît-elle serveuse dans quelque bar citadin. Mais, ce qu’elle préfère par-dessus tout, c’est de pouvoir renouer avec son tout premier amour : la pêche en apnée, que ce soit poissons ou perles, elle a appris à maîtriser cette discipline très exigeante mais à la fois très proche de sa vision de sa Voie. Au fil de ses voyages, cela lui arrive de vendre des bijoux en perle de nacres ou en coquillage qu’elle aura fabriqué elle-même.
Description Physique
Luanllö Nil’An ne passe jamais inaperçue. Savant métissage d’une mère Faëlle et d’un père Alavirien, on la croirait presque tout droit venue d’une autre planète. D’un autre monde. Son apparence frêle et fragile tend à tromper les gens au premier abord. En effet, plutôt petite, elle ne dépasse sans doute pas le mètre soixante ce qui contribue fortement à la faire paraître bien plus jeune qu’elle ne l’est en réalité. Petite, mais tout de même bien proportionnée ; malgré des épaules sans doute étonnement larges et carrées – résultat de longues heures passées à nager – Llö possède de longues jambes fuselées, une taille fine et gracile, une jolie poitrine au charme très convaincant. Mais surtout, la jeune femme arbore une musculature déliée et toute en souplesse, à la fois le résultat d’un entraînement rigoureux et héritage d’ancêtres Faëls. Evidemment, elle est naturellement plus rapide et plus agile que la plupart des Alaviriens, et cela se devine nettement dans sa démarche assurée toute en fluidité et en légèreté. Un peu comme si elle flottait sur un nuage. Ou plutôt dans l’eau.
Llö n’a pas eu la chance d’hériter de la belle peau basanée de sa mère – une mère qu’elle n’a jamais connu. Non, elle a un joli teint de pêche et a tendance à bien bronzer lorsqu’elle s’expose au soleil. Peut-être sont-ce les bienfaits de la mer dont elle a longtemps profité, mais en tout cas, sa peau reste toujours très douce et dégage ce parfum si particulier et quasiment indéfinissable – mélange subtil entre les embruns salées et l’un de ces fruits exotiques des lointaines contrées Faëlles. Toutefois, les cals de la paume de ses mains attestent non seulement d’une longue pratique de l’escalade mais aussi de la dure vie de marin. L’on pourrait presque dire qu’elle a des mains d’homme. De travailleur.
La jeune Marchombre a hérité d’un visage très fin ; son père lui rappelle souvent qu’elle ressemble beaucoup à sa mère. Ses grands yeux d’un gris très clair sont très expressifs et peuvent littéralement changer de couleur selon la lumière : ils tirent souvent sur des nuances plus bleues ou vertes. S’assombrissent carrément lorsqu’elle est en colère, semblent vides lorsqu’elle est triste ou mélancolique, s’illumine lorsqu’elle est heureuse. Cacher ses émotions, c’est encore quelque-chose qu’elle a beaucoup de mal à faire. Elle est un véritable livre ouvert à qui sait lire dans son regard. Luanllö arbore une épaisse chevelure d’un blond si clair qu’elle en paraît presque blanche, ce qui donne un bel éclat à son visage. A son teint en général. Volumineux et parfaitement indisciplinés, ils retombent dans le creux de ses reins en longues dreadlocks, soigneusement entretenues. Parfois, elle ramène ses locks dans un chignon négligé, mais la jeune femme préfère quand même les sentir flotter librement dans son dos. Son petit nez retroussé est également un souvenir de sa mère, qu’elle n’a jamais connu. En revanche, elle tient son sourire de sa grand-mère paternelle dont le caractère explosif et les sautes d’humeur n’avaient d’égal que sa beauté et sa vivacité d’esprit. Ses joues, creusées d’une fossette adorable, contribuent largement à la faire paraître plus jeune qu’elle ne l’est réellement. Cependant, elle a de jolies lèvres charnues qu’elle mordille peut-être un peu trop souvent – ce petit tic, sexy en diable, ne laisse en général personne indifférent.
Côté vestimentaire, Llö opte le plus souvent pour un confort maximal sans toutefois négliger son apparence. Oui, c’est une jeune femme ; elle aime donc se faire un peu coquette lors de certaines occasions. Le plus souvent, elle revêt une tenue de cuir d’un bleu grisé qui lui permet de garder une large liberté de mouvements. Elle apprécie également les bustiers qui mettent plutôt bien en valeur et redessinent sa petite poitrine. Comme elle n’est pas très pudique, Llö est capable de se balader à moitié à poil – voir même carrément à poil – devant n’importe quel inconnu, ce qui peut facilement la faire passer pour une exhibitionniste aux yeux des gens. Toutefois, elle est tellement en accord avec elle-même, avec son corps, qu’elle ne se soucie pas le moins du monde des regards moralisateurs qui se posent sur elle. Elle est Faëlle et Alavirienne. Liberté et fluidité. Océan et brise légère. Marchombre.
Llö n’a pas eu la chance d’hériter de la belle peau basanée de sa mère – une mère qu’elle n’a jamais connu. Non, elle a un joli teint de pêche et a tendance à bien bronzer lorsqu’elle s’expose au soleil. Peut-être sont-ce les bienfaits de la mer dont elle a longtemps profité, mais en tout cas, sa peau reste toujours très douce et dégage ce parfum si particulier et quasiment indéfinissable – mélange subtil entre les embruns salées et l’un de ces fruits exotiques des lointaines contrées Faëlles. Toutefois, les cals de la paume de ses mains attestent non seulement d’une longue pratique de l’escalade mais aussi de la dure vie de marin. L’on pourrait presque dire qu’elle a des mains d’homme. De travailleur.
La jeune Marchombre a hérité d’un visage très fin ; son père lui rappelle souvent qu’elle ressemble beaucoup à sa mère. Ses grands yeux d’un gris très clair sont très expressifs et peuvent littéralement changer de couleur selon la lumière : ils tirent souvent sur des nuances plus bleues ou vertes. S’assombrissent carrément lorsqu’elle est en colère, semblent vides lorsqu’elle est triste ou mélancolique, s’illumine lorsqu’elle est heureuse. Cacher ses émotions, c’est encore quelque-chose qu’elle a beaucoup de mal à faire. Elle est un véritable livre ouvert à qui sait lire dans son regard. Luanllö arbore une épaisse chevelure d’un blond si clair qu’elle en paraît presque blanche, ce qui donne un bel éclat à son visage. A son teint en général. Volumineux et parfaitement indisciplinés, ils retombent dans le creux de ses reins en longues dreadlocks, soigneusement entretenues. Parfois, elle ramène ses locks dans un chignon négligé, mais la jeune femme préfère quand même les sentir flotter librement dans son dos. Son petit nez retroussé est également un souvenir de sa mère, qu’elle n’a jamais connu. En revanche, elle tient son sourire de sa grand-mère paternelle dont le caractère explosif et les sautes d’humeur n’avaient d’égal que sa beauté et sa vivacité d’esprit. Ses joues, creusées d’une fossette adorable, contribuent largement à la faire paraître plus jeune qu’elle ne l’est réellement. Cependant, elle a de jolies lèvres charnues qu’elle mordille peut-être un peu trop souvent – ce petit tic, sexy en diable, ne laisse en général personne indifférent.
Côté vestimentaire, Llö opte le plus souvent pour un confort maximal sans toutefois négliger son apparence. Oui, c’est une jeune femme ; elle aime donc se faire un peu coquette lors de certaines occasions. Le plus souvent, elle revêt une tenue de cuir d’un bleu grisé qui lui permet de garder une large liberté de mouvements. Elle apprécie également les bustiers qui mettent plutôt bien en valeur et redessinent sa petite poitrine. Comme elle n’est pas très pudique, Llö est capable de se balader à moitié à poil – voir même carrément à poil – devant n’importe quel inconnu, ce qui peut facilement la faire passer pour une exhibitionniste aux yeux des gens. Toutefois, elle est tellement en accord avec elle-même, avec son corps, qu’elle ne se soucie pas le moins du monde des regards moralisateurs qui se posent sur elle. Elle est Faëlle et Alavirienne. Liberté et fluidité. Océan et brise légère. Marchombre.
Caractère
« Face à l’océan, je ne peux pas mentir – me mentir. L’eau est un miroir. Mon miroir. Lorsque je me fonds dans l’élément, je suis moi. Totalement moi. Complètement moi. Et je suis seule dans un bleu si intense et si hypnotisant qu’il menace de m’engloutir. Je suis moi et je suis libre et Marchombre. En communion parfaite avec la nature. C’est là, ma Voie »
Pour sûr, Luanllö est une jeune femme un peu étrange, bien qu’en parfait accord avec elle-même. D’une nature parfaitement calme et sereine, elle vit en harmonie avec le monde qui l’entoure. Un monde qu’elle aime observer. Qu’elle protège. Qu’elle chérit. Et qui lui offre de beaux moments d’intensité et de plénitude. Depuis son plus jeune âge, elle a été habituée à côtoyer la puissance des éléments, appris à sentir leur énergie. A les respecter. Sans doute que son enfance passée en mer a largement contribué à forger son amour inconditionnel de la nature, mais aussi à apprécier les petites choses simples de la vie. Llö est quelqu’un de très ancré dans le présent ; pour elle le futur est incertain et l’on ne peut refaire le passer. Seul l’instant présent en vaut vraiment la chandelle. C’est une vision du monde un peu particulière, mais elle a été élevée comme cela et cette éducation a beaucoup contribué à la forger en tant que personne. Et continue de la guider dans chacun de ses pas.
Toujours optimiste, la jeune Marchombre est d’un caractère rayonnant ; sa joie de vivre étonnante ne laisse jamais personne indifférent. Bien sûr, elle a ses propres problèmes et son histoire à elle, mais elle estime que pour avancer dans la vie, il faut voir le côté positif des choses. Parce que pour elle, la vie est une incroyable aventure et elle vaut le coup d’être vécue pleinement, peu importe les coups foireux qui peuvent bien arriver. Elle n’est pas du genre à cacher ses émotions, de toute façon elle en est incapable, mais elle fera toujours en sorte de ne céder que très peu à la tristesse. Oh, ce n’est pas tous les jours facile mais, sans doute par pudeur, elle estime que chacun a des problèmes à surmonter dans la vie, et elle ne veut pas que l’on s’apitoie sur son sort.
Entière et passionnée, Llö se bat jusqu’au bout pour ses convictions. Elle ne connaît pas de demi-mesure et assume toujours ses choix, car elle considère que cela contribue à la construire. A la forger en tant que personne. Et puis, pour elle, la liberté est faite de choix. Comme elle a grandi dans un monde d’hommes, elle n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, et ce n’est pas sa petite taille qui l’empêchera de fiche une bonne trempe à celui ou celle qui lui manquera de respect. Toutefois, la jeune femme préfèrera le plus souvent, plutôt que la violence, une bonne discussion entre adultes civilisés pour résoudre les malentendus. Les problèmes. La jolie blonde est très pacifique dans l’âme, mais il faut tout de même voir à ne pas la pousser dans ses retranchements ! Car sa patience n’est pas sans limites non plus ! Et quand elle s’énerve, elle ressemble véritablement à un océan en furie, malmené par les tempêtes du sud. Mieux vaut alors ne pas se trouver en travers de son chemin, car elle n’aura aucune pitié. Heureusement, cela reste relativement rare…
Voyageuse dans l’âme, Llö aime les rencontres. Mieux que cela, elle cherche le contact des gens ; elle a toujours vécu entourée de tout un équipage, du coup, elle déteste la solitude. Même si, bien sûr, elle apprécie ces petits moment rien qu’à elle, seule face à l’océan. Elle est du genre à se faire assez facilement des amis, notamment parce que les gens lui font naturellement confiance. L’inverse est très vrai aussi, et elle est sûrement un peu naïve de ce côté-là car elle ne voit jamais les mauvais côtés chez les gens, d’un premier abord. Ce qu’elle apprécie avant tout chez les autres : une bonne dose d’humour, une pincée de folie, un soupçon de sincérité et beaucoup de simplicité. Elle ne se permet jamais de juger, tout juste écouter quand il le faut. C’est ce qui fait d’elle une amie précieuse.
Pour sûr, Luanllö est une jeune femme un peu étrange, bien qu’en parfait accord avec elle-même. D’une nature parfaitement calme et sereine, elle vit en harmonie avec le monde qui l’entoure. Un monde qu’elle aime observer. Qu’elle protège. Qu’elle chérit. Et qui lui offre de beaux moments d’intensité et de plénitude. Depuis son plus jeune âge, elle a été habituée à côtoyer la puissance des éléments, appris à sentir leur énergie. A les respecter. Sans doute que son enfance passée en mer a largement contribué à forger son amour inconditionnel de la nature, mais aussi à apprécier les petites choses simples de la vie. Llö est quelqu’un de très ancré dans le présent ; pour elle le futur est incertain et l’on ne peut refaire le passer. Seul l’instant présent en vaut vraiment la chandelle. C’est une vision du monde un peu particulière, mais elle a été élevée comme cela et cette éducation a beaucoup contribué à la forger en tant que personne. Et continue de la guider dans chacun de ses pas.
Toujours optimiste, la jeune Marchombre est d’un caractère rayonnant ; sa joie de vivre étonnante ne laisse jamais personne indifférent. Bien sûr, elle a ses propres problèmes et son histoire à elle, mais elle estime que pour avancer dans la vie, il faut voir le côté positif des choses. Parce que pour elle, la vie est une incroyable aventure et elle vaut le coup d’être vécue pleinement, peu importe les coups foireux qui peuvent bien arriver. Elle n’est pas du genre à cacher ses émotions, de toute façon elle en est incapable, mais elle fera toujours en sorte de ne céder que très peu à la tristesse. Oh, ce n’est pas tous les jours facile mais, sans doute par pudeur, elle estime que chacun a des problèmes à surmonter dans la vie, et elle ne veut pas que l’on s’apitoie sur son sort.
Entière et passionnée, Llö se bat jusqu’au bout pour ses convictions. Elle ne connaît pas de demi-mesure et assume toujours ses choix, car elle considère que cela contribue à la construire. A la forger en tant que personne. Et puis, pour elle, la liberté est faite de choix. Comme elle a grandi dans un monde d’hommes, elle n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, et ce n’est pas sa petite taille qui l’empêchera de fiche une bonne trempe à celui ou celle qui lui manquera de respect. Toutefois, la jeune femme préfèrera le plus souvent, plutôt que la violence, une bonne discussion entre adultes civilisés pour résoudre les malentendus. Les problèmes. La jolie blonde est très pacifique dans l’âme, mais il faut tout de même voir à ne pas la pousser dans ses retranchements ! Car sa patience n’est pas sans limites non plus ! Et quand elle s’énerve, elle ressemble véritablement à un océan en furie, malmené par les tempêtes du sud. Mieux vaut alors ne pas se trouver en travers de son chemin, car elle n’aura aucune pitié. Heureusement, cela reste relativement rare…
Voyageuse dans l’âme, Llö aime les rencontres. Mieux que cela, elle cherche le contact des gens ; elle a toujours vécu entourée de tout un équipage, du coup, elle déteste la solitude. Même si, bien sûr, elle apprécie ces petits moment rien qu’à elle, seule face à l’océan. Elle est du genre à se faire assez facilement des amis, notamment parce que les gens lui font naturellement confiance. L’inverse est très vrai aussi, et elle est sûrement un peu naïve de ce côté-là car elle ne voit jamais les mauvais côtés chez les gens, d’un premier abord. Ce qu’elle apprécie avant tout chez les autres : une bonne dose d’humour, une pincée de folie, un soupçon de sincérité et beaucoup de simplicité. Elle ne se permet jamais de juger, tout juste écouter quand il le faut. C’est ce qui fait d’elle une amie précieuse.
Histoire
CHAPITRE 1 : RENAITRE
La jeune femme bougea légèrement les paupières et la vieille guérisseuse suspendit son souffle. Littéralement. Cette petite revenait de très loin et si elle était encore en vie, ce n’était que par pur miracle. Oui, car malgré tous ses remèdes et ses décoctions pour permettre aux blessures de la jolie Faëlle de cicatriser correctement, la fièvre n’était retombée que quelques heures plus tôt. A peine. Et cette plaie qui lui barrait méchamment la hanche avait désormais bien meilleur aspect. La vieille femme observa un instant la blessée, admirant son profil bien dessiné. Et tout en finesse. Elle se demandait ce qui avait bien pu lui arriver et d’où elle venait. Elle avait ce doux parfum des embruns qui lui collait à la peau et un teint de peau hâlé que son épaisse tignasse d’un blond si clair mettait joliment en valeur. Si jeune, et pourtant, elle venait de frôler la mort d’un cheveu. Vraiment un tout petit cheveu.
Llö remua doucement, avant d’ouvrir ses grands yeux gris. Elle les referma presque aussitôt, aveuglée par la lumière du jour qui inondait la pièce. Elle voulut bouger le bras pour se protéger les yeux, mais elle ne put que grimacer de douleur. Ça la tirait affreusement, là. Au niveau des côtes. Et ça lançait jusque dans la hanche pour se propager dans le haut de sa jambe. Oh, par la barbe de Merwyn… La Marchombre réfléchissait à toute vitesse, fouillant dans sa mémoire. Longtemps. Mais elle n’y parvint pas, à retrouver ce qu’il s’était passé. Pourquoi elle avait si mal. Pourquoi elle n’avait absolument aucune idée de qui elle était. Pourquoi, ces morceaux d’elle-même, à la fois si proches et si lointains lui échappaient sans qu’elle ne puisse les toucher du bout du doigt. Comme si son identité avait volé en millions de petits éclats et qu’elle devait les recoller, un à un. Ouvrant un œil fatigué, la jolie blonde voulut parler mais ne parvint qu’à pousser un grognement rauque. Soupirant, elle referma son œil droit tandis que la vieille guérisseuse murmurait tranquillement. Normal ? C’était normal ce qui lui arrivait ? Elle recouvrerait ses capacités dans peu de temps ? Non mais c’était une blague ?! Ou alors elle nageait en plein délire !!
*
Luanllö faisait beaucoup de progrès depuis quelques jours. Sa mémoire lui revenait peu à peu, par bribes, tandis qu’elle feuilletait ses carnets de croquis. Elle se souvenait maintenant clairement du bleu profond des grands océans du sud, de la brise légère qui s’engouffrait dans les voiles de l’Odyssée. L’Odyssée, superbe flûte marchande de quarante-huit mètres de long pour quinze mètres de large. D’une capacité d’environ sept-cent cinquante tonneaux, il s’agissait probablement de l’un des plus importants vaisseaux de commerce de tout le sud de l'empire. Ce gros bateau était une acquisition de son arrière-grand-père paternel qui, porté par ses rêves d’aventure et de liberté, avait abandonné le petit monde riche et fastueux de la cours impériale. D’une rapidité et d’une légèreté sans pareille par vent arrière, l’Odyssée faisait la fierté de sa famille depuis trois générations, sillonnant les mers du sud le long de la côte Alavirienne jusqu'aux rivages du pays Faël. C'est d'ailleurs lors d'une escale dans le port le plus important de tout l'ouest du pays Faël, Illül, que se rencontrèrent ses parents. Enyö Nil'An et Shaerill Lewëllin. Il était jeune et plein de fougue. Elle était belle et profondément indépendante.
Le soir de sa naissance, lors d’une belle nuit d’été, la flûte marchande avait mouillé au cœur d’une petit crique aux eaux paisibles et limpides, dominée par la petite cité de Ter-Awa. La lune était encore haute dans le ciel lorsque la petite Luanllö pointa le bout de son nez – pour le plus grand bonheur de son père. Mais le petit jour éclaircissait à peine l’horizon de couleurs roses vives lorsque sa mère disparut dans la nature. Sans jamais reparaître. Ni jamais s’inquiéter de ce que pouvait bien devenir sa fille. Toutefois, même au plus profond de sa mémoire, Llö ne parvenait pas à se souvenir d’avoir souffert plus que cela de l’absence de sa mère – une mère Faëlle, d’après Enyö Nil’An, dont la soif de liberté n’avait d’égale que sa beauté hypnotisante. Oui, elle s’en souvenait maintenant. C’était une fille de l’été. Une fille de la mer. Elle aimait sentir les embruns fouetter son visage, et la brise marine jouer dans ses longs cheveux indisciplinés.
C’était cela son monde. L’océan et ses caprices avaient contribué à forger son enfance, à la construire en tant que personne. Mais cela, il fallait le savoir pour comprendre la jeune femme, et certaine de ses réactions étonnantes, si décalées par rapport à une société parfois un peu trop déconnectée du vrai sens de la vie. De la réalité. Une société qui vivait tranquillement au rythme d’une routine quotidienne. C’était sans doute pour cela qu’elle n’avait jamais supporté les grosses villes de l’Empire, grouillants de monde et de richesses futiles. Etouffantes. Son enfance passée en mer, au gré des périples de l’Odyssée, l’avait façonnée dans une liberté la plus totale. Elle avait grandi dans un monde constitué majoritairement d’hommes, qui la laissaient faire ses propres erreurs. Et apprendre. C’était tout cela qu’elle avait retrouvé dans sa mémoire, en à peine quelques jours.
*
L’air un peu songeuse, Llö laissa glisser ses vêtements au sol tandis qu’elle s’avançait vers la grosse baignoire, remplie à ras bord. La petite salle-de-bain baignait dans un nuage de vapeur tiède, qui contrastait fortement avec le froid transperçant de ces contrées nordiques. Quand elle songeait que cela faisait pratiquement trois mois qu’elle vivait dans ce petit village, niché au creux de la plaine de Shaal – si loin au nord ! – cela lui tira un long frisson. Trois mois. Un automne entier ! Et l’hiver qui s’installait doucement ! Trois mois. Et elle tentait toujours de recoller des milliers de petits morceaux d’elle-même. Elle était bien entourée, certes, et la cicatrice qui lui barrait la hanche commençait à avoir un bien meilleur aspect. Aussi, son corps commençait également à se souvenir que ce n’était pas dans ses gènes, ça. Ça, rester autant de temps au même endroit.
Secouant toute seule la tête, la demi-faëlle poussa un long soupir de satisfaction alors s’asseyait dans la baignoire. L’eau, délicieusement chaude, détendit tous ses muscles presque immédiatement. Ce réflexe était encore plus accru au contact de l’eau froide. La Marchombre laissa sa respiration devenir plus calme, et plus ample. Plus lente. Elle inspirait tranquillement, en focalisant son esprit sur son ventre qui se gonflait doucement. Puis qui se dégonflait alors qu’elle expirait longuement. Son regard d’un gris clair étonnant sonda une dernière fois la pièce, autour d’elle, avant qu’elle ne ferme les yeux en inspirant une dernière goulée d’air.
Passant ses mains dans sa longue et épaisse chevelure, la jeune femme se laissa glisser doucement dans l’onde chaude, jusqu’à s’allonger carrément au fond de la baignoire. Elle aimait bien ces moments-là, car elle retrouvait alors des sensations profondément familières – comme inscrites dans ses gènes. Elle qui était si éparpillée d’ordinaire, lorsqu’elle retenait son souffle pour s’immerger sous la surface de l’eau, elle parvenait toujours assez bien à brider son esprit qui avait tendance à s’égarer dans un vaste labyrinthe tortueux. C’était pour cela qu’elle était si détendue lorsqu’elle suspendait son souffle. Sa respiration. Elle ne pensait plus à rien. A rien du tout. Cela lui permettait alors de se recentrer littéralement sur elle-même, pour sentir la moindre réaction de son corps – son cœur qui ralentissait, ses muscles qui chauffaient, ses doigts qui s’engourdissaient.
Son monde n’était que sensations. Connections. Depuis son plus jeune âge, elle avait appris à aller communier avec l’élément. C’était son père qui lui avait tout appris ; Enyö Nil’An était certes capitaine de l’Odyssée, mais au gré de ses voyages, il redevenait le petit garçon émerveillé qu’il avait été. Son activité favorite, lorsqu’il entreprenait de longues traversées à bord de son vieux rafiot, c’était de pouvoir pêcher son propre poisson. En apnée. Il emmenait souvent sa fille, durant de longues après-midi, et lui appris à se fondre dans ce milieu si particulier. Magique et pourtant si fragile à la fois. Puissant mais d’une beauté sans pareille. Ces souvenirs étaient gravés en Llö, contribuant à la façonner, à forger son identité. Une identité qu’elle retrouvait peu à peu.
*
Llö roula sur le dos en grimaçant. C’était la première fois depuis de longues semaines que la douleur de sa hanche se réveillait, se rappelant à elle avec force et violence. Le froid transperçant en cet hiver nordique tirait sur sa peau et sur sa cicatrice douloureuse. Cela lui avait presque coupé le souffle d’un seul coup. Littéralement. Une lueur d’inquiétude au fond de ses beaux yeux presque noirs, le brun ténébreux se redressa sur un coude alors que la Marchombre reprenait son souffle doucement. Le gris clair et le marron se croisèrent quelques secondes. Et la jeune femme sentit son cœur accélérer imperceptiblement dans sa poitrine. Et sa gorge s’assécher d’un seul coup. Dans son ventre la chaleur diffuse n’avait pas disparue, au contraire. Et son corps tout entier en redemandait encore.
Par la barbe de Merwyn, qu’est-ce qu’il pouvait être beau ! Elle avait connu bien des hommes, mais jamais encore elle n’avait appris à apprécier la force brute des Thüls. Enfin, ça, c’était typiquement un vulgaire cliché, car son amant venait de lui faire l’amour comme jamais encore ! Il ressemblait un peu à un animal sauvage avec ses longues mèches rebelles qui lui tombaient ainsi devant les yeux, mais il l’avait aimé avec une douceur et une délicatesse qu’elle n’aurait jamais pu soupçonner – un peu comme s’il avait eu peur de la brise entre ses bras. Son regard gris pétilla un instant, alors qu’elle attirait de nouveau l’homme à elle pour une nouvelle danse. Vieille comme le monde.
*
CHAPITRE 2 : ET AVANCER
CHAPITRE 2 : ET AVANCER
C’était-là ! Un triste spectacle s’étendait devant ses yeux. Une multitude de débris jonchaient encore le sol, à moitié ensevelis sous une épaisse couche de neige. En plusieurs longs mois, la jeune Marchombre était finalement parvenue à recouvrer toute sa mémoire. Ces minutes de chaos le plus total lui revenait par une multitude de flashs, d’images désordonnées. Cela se succédait dans sa tête. Son corps cogna un peu plus fort dans sa poitrine. Plus d’un an s’était écoulé depuis cette attaque de Raïs qui avait surpris la caravane qu’elle escortait vers le sud. Vers l’océan. Les itinérants étaient partis de la Citadelle des Frontaliers et avaient décidés de descendre vers le sud en suivant le Pollimage ; ainsi, ils feraient étape dans les quelques villages qui s’étendaient le long de la chaîne du Poll.
Mais le voyage s’était tragiquement terminé pour beaucoup d’entre eux lorsque les Raïs leur étaient tombés dessus brutalement. Véritablement déferlement de violence. Llö s’en était voulu beaucoup lorsqu’elle avait appris cela par Maya Yskon, autrefois danseuse itinérante. Elle avait été l’une des rares survivantes de l’attaque, mais ne s’en était pas sortie sans séquelles ; ce jour-là, dans sa fuite, elle avait perdu sa jambe. La Marchombre n’avait pas su détecter la présence des guerriers-cochons, ce qui avait coûté la vie à beaucoup d’hommes et de femmes. D’enfants.
Adalrick chouina doucement dans le porte-bébé, tout contre sa poitrine. Llö, par réflexe, effleura le haut de son crâne avec une extrême délicatesse, tandis que le petit se rendormait profondément. Bercé par ses rêves de lumière. En observant son fils, si petit, si fragile, la demi-faëlle pensa presque aussitôt à tous ces enfants qu’elle n’avait pas pu sauver ce jour-là. Et elle culpabilisa encore plus. Et une boule d’émotions se forma au fond de sa gorge. Pouvait-elle seulement prendre la responsabilité de guider des apprentis si elle n’était pas en paix avec elle-même ? Si elle doutait d’avoir fait tout son possible pour sauver ces pauvres gens ? Il fallait qu’elle se reprenne, comme elle savait toujours le faire. Mais là, maintenant, la présence de son maître lui manquait cruellement. Ninyë, la vieille Marchombre au regard vif, avait toujours su la rassurer – sans toutefois la prendre avec des pincettes. Elle lui avait toujours dit ce qu’elle pensait, sans détour. Et lors de ses moments de doute, elle trouvait toujours les mots justes. Mais elle était morte, quelques années plus tôt, d’une maladie incurable qui la rongeait depuis trop longtemps. En cet instant, Llö se sentait un peu orpheline…
Et pourtant, elle pouvait clairement sentir la présence de Ninyë tout autour d'elle. Et à travers chacun de ses pas. Des épreuves qu'elle pouvait vivre. Quelque part, la vieille Marchombre avait été un peu comme la mère qu'elle n'avait jamais eu, surtout qu'elle l'avait connue relativement jeune. Llö se souviendrait toujours de leur rencontre, dans une taverne qui ne payait pas de mine, dans un petit village au sud d'Al-Vor. Les chemins de la liberté, c'était le nom de l'établissement. Dans l'ombre le regard noisette et profondément malicieux de Ninyë l'avait dévisagé. L'avait sondée au plus profond de son être. Un regard vif et affûté qui avait marqué à vie la toute jeune femme qu'elle était alors. Il n'avait fallu qu'une seule question à la vieille Marchombre, un soir d'été, pour titiller la curiosité de la demi-Faëlle. Une seule. Et une promesse. Elle avait tout juste dix-huit ans lorsqu'elle avait suivi son maître, sans se poser la moindre question. Elle avait dix-huit ans et le monde lui ouvrait les bras. Aujourd'hui encore, son maître l'accompagnait partout où elle allait. Juste-là. Dans son coeur.
*
Dans une petite chambre de l’auberge de l’Etoile du Voyageur, Llö observait pensivement le profil de Adalrick. Il était encore tout petit et la sage-femme l’avait prévenue qu’il passerait ses premières semaines à beaucoup dormir – et pas toujours aux heures où elle le souhaiterait ! La jeune femme laissa un instant ses pensées vagabonder vers le père de ce petit bout d’homme. Un certain Thül au regard aussi sombre que sa chevelure indisciplinée. Ce soir-là, presque un an auparavant, il avait laissé en elle un petit bout de lui. Elle ne le savait pas encore alors, mais sa vie prendrait un tournant radical : elle ne serait plus seule ! En effet, il n’avait pas fallu très longtemps pour que la Marchombre ne commence à ressentir les premiers changements que subissait son corps et si elle mit un moment avant de l’accepter, elle ne put bientôt plus nier l’évidence alors que son ventre s’arrondissait doucement.
Véritable bouleversement. Déchaînement d’émotions. Qui engendra chez elle, le besoin pressant d’un retour aux sources. C’est sur une plage quasiment déserte, au sud de l’empire, qu’elle donna naissance à Adalrick, deux mois plus tôt. Ce fut difficile. Douloureux. Et très long. C’était son premier enfant, or son corps n’était pas encore exactement adapté aux difficultés d’un accouchement. Par la suite, lui avait affirmé la sage-femme, le passage serait plus facile. Et le travail moins long. Son corps commençait tout juste à se remettre de la naissance de son fils, mais curieusement la jeune femme se sentait plus forte que jamais. Rien qu’en observant le bébé de tout juste deux mois, elle se sentait capable de tout affronter – même une horde de Raïs ! C’était un peu étrange encore pour elle. Tout neuf comme sentiment. Elle ne vivait plus simplement pour elle-même. Non, maintenant, ce tout petit être dépendait d’elle. Il avait besoin d’elle pour grandir et se construire.
C’était une grosse responsabilité et Llö se demandait parfois si prendre des apprentis relevait un peu du même genre de responsabilité aussi. Ninyë aurait probablement su lui apporter quelques réponses à ce sujet, un peu mystérieusement, mais à sa manière sans doute. Parce que l’envie la titillait de plus en plus souvent. Transmettre. Accompagner les premiers pas d’un apprenti sur la Voie pour lui apprendre à s’envoler. Car c’était cela que lui avait véritablement appris la Voie des Marchombres. Que l’on peut être libre – complètement libre – à partir du moment où on le décide sans plus regarder en arrière. La Voie pulsait dans ses veines avec toujours autant de force, cela concordait tellement avec sa vision du monde. Cela, elle l’avait senti dès le début. C’était cela qui l’avait poussé à suivre Ninyë jusqu’au bout de l’empire. La liberté et la beauté de la nature n’avait pas de prix à ses yeux.
*
Cela faisait quelques jours désormais que Llö longeait le Pollimage vers le sud. Les températures devenaient un peu plus clémentes, mais restaient tout de même très froides et piquantes. La neige formait un épais manteau sur le sol. En un peu plus d’un an, elle avait frôlé la mort face à une attaque de Raïs. Elle s’était battue, avait survécu. Retrouvé le goût de vivre dans un village de Thüls, niché au cœur de la plaine de Shaal. Rassemblé toutes les pièces effritées de sa mémoire, tel un puzzle. Donné la vie. Et, enfin, elle avançait sereinement à nouveau. Elle se laissait guider par ses envies avec des rêves plein la tête. Elle allait présenter son fils à celui qui avait planté cette petite graine en elle, au cœur d’une nuit d’hiver. Prendre des apprenties. Et continuer d’avancer sur la Voie.
Informations personnelles
Citation de vous même | Pseudo
Pseudo | "Colombine", parce que j'ai une tendance à être un peu tête en l'air, mais aussi "Petit poisson", ou encore "La sirène" parce que je suis toujours la tête sous l'eau
Age réel | Je viens juste de fêter mes 25 ans
Pays d'origine | Je me trouve en France pour le moment, mais sans doute pas pour longtemps...
Parlez-nous de vous | Il était une fois, une fille à moitié dauphin...
Bon, je plaisante, mais à moitié. J'ai grandi sur une île tropicale, du coup l'océan et moi c'est une grande histoire d'amour. D'ailleurs, je suis en train de me former en ce moment pour devenir monitrice d'apnée - je dois passer mon diplôme d'Instructeur AIDA le mois prochain, si tout se passe bien.
Un peu rêveuse sur les bords, très optimiste, je ressemble beaucoup à Llö - ou plutôt c'est elle qui me ressemble. Je ne tient que peu en place, c'est pourquoi, dès que j'en ai l'occasion je voyage avec mon seul sac à dos, quelques livres, mes palmes et mon appareil photo pour toute compagnie
Familier avec l'univers de Pierre Bottero? | J'ai tout lu et relu les oeuvres de Bottero et j'aime toujours autant sa façon d'écrire, son univers, les personnages, sa philosophie.
Comment avez vous connu le forum ? | Via un forum partenaire, sur lequel j'incarne déjà trois personnages x)
Un commentaire sur le forum ? | Très joli design et une bonne ambiance
Demande particulière | Aucune
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